Anthropologie pratique tous azimuts : l'étrange bête que nous sommes. Tous contributeurs bienvenus, sur le mode sérieux ou humoristique. Objectifs : décrire plus complètement l'animal humain, essayer1
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de comprendre un peu son insertion éco-éthologique sur notre terre.
Echanger et critiquer idées, références, projets d'édition commune.
Tout ce qui survient dans notrer monde provient d'un nombre incalculable de causes, particulières ou générales, petites ou grandes, universelles ou locales, éphémères ou durables. Ces causes innombrables s'entrecroisent, ici s'annulant, là s'amplifiant, là encore se déviant les unes les autres.
Un néologisme m'est tombé sous les yeux: communalité. Si je me souviens bien, il était associé à des sociétés "non modernes", avec quatre traits principaux : prise de décisions en commun, interactivités personnelles, coopérations, fête(s)du groupe.
Ce qu'un psychologue, aujourd'hui, nomme "bipolarité" s'appelait, chez nos anciens beaucoup moins portés à l'euphémisme , "syndrome maniaco-dépressif". Au-delà des formes langagières, il y a une réalité à explorer plus avant :nous sommes tous "bipolaires". C'est-à-dire que nous avons des mobiles, et positifs, et négatifs. Nous sommes "mobilisés" (nous passons à l'action) à partir des désirs, des besoins, des devoirs, des espoirs; et des répulsions, des dégoûts, des craintes, des souffrances.