Visages de Marseille

Depuis 8 ans, j’écarquille mes yeux de bigleux pour lire le nom des journalistes figurant en petits caractères jaune pisseux entre le titre et l’article. Alors la technique, un effort !

Un peu prétentieux d’avoir intitule mon billet « l’Hebdo des journalistes » même si je puise mon inspiration dans les articles des rédacteurs de Mediapart. Alors ce sera, en toute modestie: "Mon Hebdo", avec le lien de la première page du jour dit pour faciliter la recherche. A Marseille, sur le Vieux port, on n'a pas tout à fait le même regard...

Cet article est passé quasiment inaperçu sur mon blog. Près de cinquante textes en moyenne sont publiés toutes les heures sur le site et ne figurent qu’une trentaine de minutes sur la page d’accueil avant de passer presque aux oubliettes.. C’est dire le succès de Mediapart, sans parler des milliers de commentaires journaliers. A suivre ci-dessous

Rendez-vous au « Château » Celui de l’Elysée pardi, encore que les Parisiens le dénomme « Palais » !.

Foin de polémiques honteuses, scandaleuses, indignes d’hommes politiques sans respect pour les centaines de victimes depuis janvier 2015. La France est une passoire face aux fous de Dieu et aux détraqués. Rien que des paroles, des discours, des promesses stériles face aux menaces et aux actes. Admettons-le, il est impossible d’assurer la sécurité totale avec ou sans volonté de le faire.

A ne pas confondre avec la folie des contes d’Hoffmann, L’Envolée Lyrique de Jacques Offenbach, à voir ce soir au château de l’Emperi à Salon-de-Provence.

Antoine Sfeir : "Comprendre le monde dans lequel je vis"

Samedi 7 mai 2016, la place de Bargemon était pavoisée aux couleurs de l'Europe avec un peu d'avance sur le calendrier. Les Marseillais ont profité du week end pour commémorer la déclaration Schuman du 9 mai 1950. Cette année, les organisateurs ont mis l'accent sur le « vivre ensemble ». Un pied de nez à la discrimination et au rejet de l'autre.

En ce printemps 2016, le deuxième arrondissement de Marseille est plus que jamais le territoire des Arts, de la culture et de l'artisanat, avec ses musées, ses créateurs du Panier et de la rue de la République. Les visiteurs n'ont que l'embarras du choix !

Georges Tarabichi vient de décéder à Paris à l'âge de 77 ans. À Marseille, ville multiculturelle et cosmopolite, ouverte sur le Sud, la disparition du philosophe rationaliste syrien, inspiré par l'esprit des Lumières, ne laisse pas indifférent.