Le grand débat de l’été sur la blogosphère du monde du surf a longtemps tourné autour de ces fameux bracelets rayonnants supposés préserver l’équilibre pour une modique somme de 36 euros.
Le combat attendu des deux meilleurs surfeurs européens, Jérémy Florès et Joan Duru, constitue non seulement un enjeu sportif où deux styles s’opposent, mais participe également d’une concurrence de leurs sponsors respectifs. Coulisses dans le monde du surf professionnel.
Les polémiques sur les résultats de l’équipe de France de football, où chacun a tenté de se dédouaner en se passant la « patate chaude », sont révélatrices d’un déficit de réflexion sur la gouvernance des fédérations sportives.
Si les fédérations nationales disposent d’une légitimité institutionnelle[1],rares sont celles qui disposent d’une image positive auprès de la base des pratiquants.
En une décennie, le verbe "surfer "s'est infiltré dans tous langages pour incarner l'art de l'équilibre dans une société en réseau marquée par de nouvelles relations au temps et à l'espace. La notion de fluidité (flow) s'est imposée comme une des valeurs essentielle au management et à la gouvernance des entreprises de surf. Mais la crise économique pourrait les inciter à remonter des murs étanches au sein de leur organisation.
Jean-Laurent Bourquin, Senior Manager au CIO donne son avis sur sa vision du surf et la perspective d'intégrer cette discipline au programme des Jeux Olympiques. Première !
Pendant longtemps les fédérations sportives traditionnelles ont refusé de considérer ces activités physiques comme des disciplines sportives à part entière.