Dans une société où bien des sujets politiques tournent à l’envers, une idée fait son chemin : supprimer les allocations familiales versées aux parents de mineurs délinquants. Basique comme bien des punitions, porté par la droite et son extrême, le projet relève d’une mécanique politique qui préfère le slogan aux solutions.
Dans la gauche dite de gouvernement, de Mélenchon à Glucksmann, chacun cavale dans la pré-campagne de l’élection présidentielle à venir qui comme les précédentes, devrait aboutir à des accords de façade pour conquérir l’Élysée et une majorité à l’Assemblée nationale.
C’est un joli nom camarade, sauf à ce qu’on ne le galvaude. Et te concernant, j’ai le sentiment que c’est devenu ton habitude. Ainsi, même si une frontière idéologique nous sépare, je considérais que tu avais l’étoffe d’un dirigeant propre à redonner naissance à une gauche de combat. Je me suis trompé, ou peut-être est-ce toi.
La protection sociale et les services publics répondent aux situations rencontrées par les citoyens au cours de leur vie. N’en déplaise à Macron, ce ne sont pas des trésors de guerre
Si je doute, c’est à la simple lecture de l’histoire. Celle où la gauche a exercé le pouvoir sous la Cinquième République. Ou comment, en ribambelle, plusieurs gouvernements ont conjugué la déception en euphémisme. Mais de doute, je n’en ai aucun sur l’absence de solution autre que de voter « Front populaire » pour empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir.