Je consigne ici d'une part, des textes sur la dimension citoyenne de mon travail sur le logement et l'habitat, et d'autre part des textes sur mon activité culturelle locale.
Dans ce billet, je reviens, plus de trois ans après, sur mon intervention lors des cinquièmes Rencontres nationales du logement qui clôturaient un cycle de concertation au long court. A l'époque, je travaillais sur la notion de transition et m'interrogeais sur la notion même de crise du logement, peu opératoire.
Interrogeons la méthode ayant présidé à l'organisation du "Grand débat des idées", la nuit dernière à l’Élysée sur plus de huit heures durant. N'y a-t-il pas un paradoxe entre l'affichage d'un événement inédit et l'absence d'innovation dans sa préparation, conduisant à un exercice penchant vers les mondanités, bien loin de ce que pourrait être une démocratie participative à l'échelle nationale.
Dans ce billet, je reviens sur les quatre idées clés des invités de la conférence « Habitat, l’innovation et l’expérience », qui proposait de travailler le rapport des chercheurs en sciences sociales à leur objet, autour de quatre témoignages, en s’attachant au rôle de leur activité, en tant que professionnels dans le champ du logement.
Dans ce billet, je raconte a posteriori la réflexion vagabonde que m'inspirait l'instant aux Entretiens d'Inxauseta 2018. Il ne s'agit donc pas d'un compte rendu, mais simplement d'une note mise en forme d’après mon carnet de terrain. Je choisis de la publier en tant que témoignage différé d'un participant, observateur, simplement pour dire que des moments rares comme ceux-ci sont utiles.
Au détour d'une conférence à l'Union sociale pour l'habitat, décrire l'enjeu d'un moment situé où le discours peut se libèrer de son efficace organisationnelle, pour mieux tenter d'innover collectivement, grâce à l’exercice individuel d'une écoute alerte. Je reprends ici l'introduction que j'avais préparée pour un événement de la Semaine nationale des Hlm, en la précisant.
Je reprends ici l'interview donnée pour la Semaine nationale des Hlm 2018, qui évoquait la préparation d'une conférence autour de chercheurs sur le thème de l'innovation, imaginée dans la suite de mes réflexions sur le secteur du logement, vu globalement, comme sujet du débat public et enjeu d'appropriation pour les acteurs.
La suite de la réforme des APL porte sur les modalités d’attributions aux ménages, sans incidence sur le système du logement. En se référant à l’année en cours, le principe revient en fait à celui de la réforme de l’impôt sur le revenu. Une baisse du volume des aides serait occasionnée, affectée à la réduction de la dépense publique, sans jouer sur l’effet d’une année de transition.
Voici dix ans très exactement, je terminais ma formation initiale par le master de l’Ecole d’urbanisme de Paris. Remarquer incidemment qu’une décennie s’est écoulée invite à reconsidérer la période dans son entier, se demandant si une cohérence peut en être tirée, si un fil directeur semblerait se discerner.
Le débat public sur le logement butte sur un paradoxe : action publique puissante, engagement fort des acteurs, mais persistance de difficultés pour une partie de nos concitoyens, voire grippage plus large des parcours résidentiels. Comment tant d’intelligence et d’engagement rassemblés peuvent-il conduire à tant d’insatisfaction et de remise en question récurrente ?