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GDS est le réseau de la Gauche Démocratique et Sociale. GDS propose que toute la gauche et les écologistes se rassemblent en une fédération unie « rose, rouge, verte » avec la nécessité de mettre « le social au cœur ». GDS regroupe des militants venant de plusieurs horizons et propose à toute la gauche de se rassembler en une fédération unie, à commencer par la mise en place de comités de liaison.
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Nous le savions depuis que la gauche avait persisté dans la division à la présidentielle : « S’il y a deux candidats de gauche importants, c’est foutu. […] Tous les beaux programmes, tous les projets de gauche seront rangés dans les placards, tiroirs du bas, dès 20 heures le 23 avril 2017. Il restera peu de députés socialistes, et zéro député PCF, zéro député Vert, zéro député PG… »
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Passera-t-elle ? Ne passera-t-elle pas ? Après Dupont-Aignan et de Villiers qui appellent à voter pour l’extrême droite, combien d’électeurs de droite refuseront de mettre un bulletin dans l’urne pour Emanuel Macron ? Le Monde, révèle que 46 % des catholiques – pratiquants réguliers ou non – voteront pour Le Pen. Dans le secret de l’isoloir, le vote honteux pour le FN pourrait-il l’emporter ?
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Marien Le Pen propose pour les présidentielles de 2017 de : « Fixer l’âge légal de la retraite à 60 ans avec 40 annuités de cotisations pour percevoir une retraite pleine » ; « Retirer la loi travail (dite loi El Khomri) » ; « Maintenir la durée légale hebdomadaire du travail à 35 heures ». Quoi ! le FN serait en fait du côté des travailleurs ? On nous aurait menti ?... Pas si vite.
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L’irresponsable division des candidats de gauche nous laisse face à deux options : libéraux ou fachos ?
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La gueule de bois est sévère aux lendemains de cette élection pleine de rebondissements et d'incertitudes relatives, car pour celui qui fait appel à la raison en politique, le résultat était couru d’avance.
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J'accuse les candidats de gauche d'avoir fait perdre la gauche, alors que celle-ci aurait du être au second tour. Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, en entretenant une division stérile, portent l'entière responsabilité de cet échec.
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Vous qui hésitez entre Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, puissiez-vous trouver dans cette lettre de quoi vous déterminer. Comme en toute chose, c’est la fin qui est essentielle et les réponses complexes appellent des questions simples : comment faire gagner la gauche dimanche prochain ?
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Dimanche nous votons pour le meilleur et pour le pire ! Tout est encore possible.
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Détrompons-nous, l’enjeu de cette présidentielle, ce ne sont pas les candidatures de Hamon ou Mélenchon, ni les programmes « Faire battre le cœur de la France » ou « L’avenir en commun ». Ce n’est pas choisir entre « un futur désirable » ou « les jours heureux », même si le vote de conviction reste nécessaire et sous-jacent à tout engagement politique sincère.