La contribution éco-socialiste travaille au rassemblement de la gauche autour d’un projet socialiste répondant concrètement à l’urgence sociale et aux défis environnementaux, autrement dit un projet éco-socialiste.…
Ce projet permet de sortir du dogme de la croissance productiviste. Il apporte une réponse crédible au chômage de masse et au problème de la dette, tout en offrant une perspective de long terme pour mener la transition écologique et la redistribution des richesses. C’est en assumant pleinement la mise en œuvre d’un nouveau modèle de développement que nous pourrons sortir de la crise.
Privilégiant les intérêts économiques et militaires sur toutes considérations éthiques et sociales, la gauche socialiste s’est fourvoyée jusqu’à payer le prix fort en contribuant à la création d’un monstre qui aujourd’hui leur échappe. Daesh, c'est aussi la faillite morale et politique de la gauche socialiste.
Un État responsable ne déclare pas la guerre à la terreur, n’encourage pas l’escalade de la violence, on a vu les résultats désastreux de cette politique aux États-Unis. S’il y a une seule guerre à faire, c’est contre nous-mêmes, contre les politiques impérialistes qui ont apporté le chaos au Moyen Orient et jusque dans nos villes.
Manuel Valls évoque une coalition gauche-droite en 2017, un ballon d'essai parfaitement calculé.Après avoir plaidé en privé pour une fusion des listes LR-PS en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Valls imagine une grande coalition en 2017 en cas de présence de Marine Le Pen au second tour. « On s'est fait avoir avec cette histoire d'UMPS [...] Oui, assumons qu'il y ait le FN d'un côté et les républicains de l'autre » estime-t-il selon des propos rapportés par Le Figaro. On ne lâche pas ce genre de petites phrases au Figaro par hasard. Petit à petit, l'oiseau fait son nid.
Affable et sans réelle autorité, celui que les militants du PS surnommaient « Flamby » a fait bien du chemin. Aujourd’hui président de tous les Français, il démontre une détermination sans faille à mettre en œuvre une politique qui a épousé les principes économiques du libéralisme.
24 000 chômeurs de moins dans la catégorie A et quatre mois de recul consécutifs. Il s'agirait de la baisse mensuelle la plus importante depuis novembre 2007. Voilà enfin une nouvelle qui devrait nous réjouir. Pourtant, la nouvelle s’accompagne rapidement d’un fort sentiment d’inquiétude. Qu’en est-il exactement de ces résultats et comment les interpréter ?
Les résultats sont tombés, 251 327 votants pour le référendum du PS. 89,7% ont dit « oui » à l’unité de la gauche et des écologistes. Mais l’unité sur quoi ? Sur quel programme commun ? Pour proposer quoi aux Français ? Bref, pour mettre en œuvre quelle politique ?
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