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Depuis quelques jours, tout le monde ne parle que de ça : de la pub Intermarché avec un loup qui essaie de manger autre chose que de la viande, sur fond de Claude François « Je suis le mal aimé ». Depuis quelques jours, je suis à l’affût de ce que bénévoles et bénéficiaires de l’épicerie solidaire itinérante E.I.D.E.R. peuvent dire, ou faire, à l’approche de Noël.
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En adaptant fidèlement le réputé inadaptable roman d’Albert Camus, François Ozon fait œuvre de (très) bon élève. Au détriment d’une interprétation plus contemporaine, qui sait ?
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Le Texan Richard Linklater reconstitue le tournage du 1er film de Jean-Luc Godard, À bout de souffle, qui emporta tout sur son passage en 1959. Ça n’était pas une mince affaire de s’attaquer à une œuvre aussi patrimoniale, et les gardiens du temple Godard l’attendaient au tournant. Le résultat est à la hauteur des ambitions et des attentes : vif et joyeux, Nouvelle vague est un pastiche réussi.
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Le dernier film de Pierre Schoeller, thriller anxiogène, nous plonge dans le nucléaire et le changement climatique, avec pour point de départ une fascination pour des toiles de Rembrandt. Si le sujet suscite l'intérêt, la réalisation, trop engoncée, et l'interprétation, pas toujours convaincante, lassent un peu...
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Jusqu’où faut-il adapter les romans de Xavier Mathieu, Goncourt 2018 avec Leurs enfants après eux, sorti en 2024 par Ludovic Boukherma ? Adapter le suivant, Connemara, par Alex Lutz, avec Mélanie Thierry, Bastien Bouillon, Jacques Gamblin, Clémentine Célarié… Un film un inégal, un peu long mais dans lequel il n’est pas inutile de regarder dans les coins, et les seconds rôles.
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Le nouveau film de Cédric Klapisch, présenté hors-compétition au festival de Cannes, offre une composition picturale et cinématographique en croisant deux trajectoires familiales, à plus un siècle d’écart. Du grand art (n’en déplaise).
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Le 52e Festival de Bande dessinée d’Angoulême a refermé ses portes dimanche 2 février. Avec des premières estimations de fréquentation en hausse de 15 à 20 %, selon les organisateurs. Les polémiques n’ont pas entaché le succès populaire. Mais les questions sont sur la table, et il faudra sûrement y répondre avant janvier 2026.
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Dans une ambiance tendue, le 52e Festival de Bande dessinée d'Angoulême est officiellement inauguré depuis la soirée du mercredi 29 janvier, jusqu'au 2 février. Avec le traditionnel Grand Prix. C'est l'autrice Anouk Ricard qui l'emporte. Une surprise face à Alison Bechdel et Catherine Meurisse, finaliste malheureuse pour la 6e fois.
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De Gilles Bourdos. Avec : Vincent Lindon (Joseph Cross). Avec les voix de : Emmanuelle Devos, Micha Lescot, Pascale Arbillot, Grégory Gadebois, Cédric Khan, Milo Machado-Grarner, Solan Machado-Graner.
