Journaliste free lance - Enquêteur - Ecrivain - Photographe - Educateur aux médias pour la jeunesse (et même les + vieux)
Région Nouvelle Aquitaine - France
Parmi les nombreuses expositions visibles pendant le 50e FIBD d'Angoulême, deux présentées au Vaisseau Moebius méritent franchement le détour : « Couleurs ! » et « Elle résiste, elles résistent ».
Incontournable évènement de la bande dessinée mondiale chaque fin du mois de janvier, le Festival de la bande dessinée d'Angoulême fête ses 50 ans en 2023. Maintes fois menacé de disparition, souvent émaillé de polémiques, à chaque fois inoubliable : il donne cette année plus que jamais une place forte au manga.
Le dernier film de Philippe Lioret, 16 ans, met en scène les amours naissantes de deux adolescents, avec toute la fraîcheur de leur jeunesse, mais malheureusement entravés par les rancœurs de deux familles socialement très différentes.
Un père et un fils, engagés dans les Tirailleurs sénégalais sur le front des Ardennes en 1917, jouent une intelligente partition de Mathieu Vadepied, mêlant la question historique de la violence coloniale et le romanesque d’un drame père-fils sur fond de guerre.
J’ai pris l’habitude, depuis deux ans, à l’approche de Noël, d’écrire non pas les états d’âme d’un directeur d’épicerie sociale itinérante en milieu rural, mais plutôt de chercher des raisons d’espérer dans le maelstrom ambiant.
Louis Garrel est à l'affiche depuis le 12 octobre de L'Innocent, son quatrième film, qu'il présentait en avant-première au Festival du film francophone d'Angoulême en août. Rencontre avec un acteur et réalisateur qui a encore beaucoup de chose à dire et à montrer.
Les films de Léopold Legrand (Le Sixième enfant) et Rebecca Zlotowski (Les Enfants des autres), sortis à une semaine d’intervalle, proposent un sujet proche traité sous deux angles différents : trop d’enfants d’un côté et pas assez de l’autre. Dans les deux cas, les réalisateurs interrogent le désir d’être mère, le désir d’enfant, quoi qu’il en coûte.
Le premier long-métrage de Céline Devaux met en scène Jeanne (Blanche Gardin), aux prises avec ses petites névroses qui prennent beaucoup de place dans sa tête, et bientôt avec Jean, drôle d'hurluberlu qui tente par tous les moyens de faire diversion. Et ça marche !