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Région Nouvelle Aquitaine - France
Adapté du récit éponyme de Sylvain Tesson, le film de Denis Imbert, "Sur les chemins noirs" raconte la lente traversée d’une France en diagonale par l’auteur-voyageur prolifique, après sa chute d’un toit l’été 2014, consécutive à un repas bien arrosé. Jean Dujardin, qui tenait absolument au rôle, marche un peu à côté de ses pompes, et c’est bien dommage.
Adapté du roman éponyme de Philippe Besson, le film d’Olivier Peyon retrace le retour sur sa terre natale d’un écrivain qui y a laissé l’embarrassant fantôme d’un adolescent de 17 ans, qui fut son premier amour. Et, dans une France provinciale et rurale du milieu des années 80, ça n’était pas très à la mode, le coming-out…
Tristan Séguéla s’empare d’un sujet glissant – le transgenre – dans une campagne électorale d’un maire de droite d’une ville moyenne du nord, dont la femme avoue qu’elle est un homme. Drôle, mais pas que.
Film quasiment inracontable, La Montagne de Thomas Salvador n’accouche pas d’une souris, bien au contraire. Ample et généreux, il mêle fantastique et abstraction avec un certain brio. Le festival du film de Gérardmer l’a d’ailleurs primé.
Auteur qui se définit lui-même comme un "lève tôt qui ne craint pas les décalages horaires", l'auteur angoumoisin Olivier Balez expose au Conseil départemental de la Charente à Angoulême, jusqu'au 29 janvier pendant le 50e FIBD.
Parmi les nombreuses expositions visibles pendant le 50e FIBD d'Angoulême, deux présentées au Vaisseau Moebius méritent franchement le détour : « Couleurs ! » et « Elle résiste, elles résistent ».
Incontournable évènement de la bande dessinée mondiale chaque fin du mois de janvier, le Festival de la bande dessinée d'Angoulême fête ses 50 ans en 2023. Maintes fois menacé de disparition, souvent émaillé de polémiques, à chaque fois inoubliable : il donne cette année plus que jamais une place forte au manga.
Le dernier film de Philippe Lioret, 16 ans, met en scène les amours naissantes de deux adolescents, avec toute la fraîcheur de leur jeunesse, mais malheureusement entravés par les rancœurs de deux familles socialement très différentes.
Un père et un fils, engagés dans les Tirailleurs sénégalais sur le front des Ardennes en 1917, jouent une intelligente partition de Mathieu Vadepied, mêlant la question historique de la violence coloniale et le romanesque d’un drame père-fils sur fond de guerre.