Alors que le gouvernement Modi tente de sauver le dialogue de paix avec le Pakistan initié à Noël, malgré plusieurs attaques terroristes, le Parti du Congrès tente de tourner la droite indienne en ridicule. Au risque de finir comme l’arroseur arrosé.
En visite à Delhi, le Premier ministre du Japon, Shinzo Abe, a donné le coup d’envoi à la ligne ferroviaire à grande vitesse devant relier Bombay à Ahmedabad. Un projet financé par Tokyo, à la barbe de la SNCF.
A Delhi, le numéro deux du gouvernement a créé la stupeur, en demandant à la Cour Suprême de dépénaliser les rapports sexuels “contre nature”, deux ans après la réintroduction de leur illégalité dans le code pénal.
Pendant que la planète entière s’interroge sur l’action à mener – ou pas – contre les terroristes de l’organisation Etat islamique, les Indiens continuent de s’écharper sur le rôle de la vache dans la société. Samedi 21 novembre, la police a confisqué une sculpture de bovin qui était exposée au Art Summit de Jaipur, capitale du Rajasthan.
Ceux qui avaient encore des doutes (ou des espoirs) en sont pour leurs frais : au sens américain du terme, la classe moyenne indienne ne compte que 24 millions d’individus, ce qui représente à peine 2% de la population totale du pays (1,25 milliard d’habitants). Autant dire qu’elle n’existe pas !
Les Indiens commencent à prendre goût aux vacances et c’est nouveau. Si les salariés ont théoriquement droit à cinq semaines de congés payés, la semaine de travail dure en général six jours. Et lorsque vient l’heure du temps libre, rares sont ceux qui jusqu’ici voyageaient, préférent rester à la maison pour consacrer du temps à leur famille.
Au pouvoir depuis bientôt dix-huit mois, le Premier ministre indien est plébiscité par 87% de la population dans son pays. Les jeunes le placent en tête de leurs personnalités préférées, devant Amitabh Bachchan et Sachin Tendulkar.
Un chroniqueur de “The Indian Express” a calculé l’impact du travail des ONG chrétiennes en Inde, en termes d’évangélisation. Il est parti des chiffres du recensement réalisé en 2011 et qui viennent d’être publiés.
La ville de Cochin a confié la gestion de son aéroport à un opérateur privé qui vient de mettre fin aux émissions de CO2 de la plateforme. L’équivalent de trois millions d’arbres replantés.