Le parti nationaliste hindou de Narendra Modi a remporté 80% des sièges à l'assemblée d'Uttar Pradesh. Il est désormais assuré d'avoir bientôt une majorité relative au Sénat fédéral, à Delhi.
Le gouvernement Modi s’est précipité pour applaudir au chiffre de la croissance publié mardi 28 février pour le dernier trimestre 2016. Il est pourtant bien trop tôt pour mesurer l’effet réel de la démonétisation du 8 novembre sur l’économie indienne.
Une campagne d'information lancée par le gouvernement Modi à l'adresse des adolescents redonne de l'espoir à ceux qui réclament la dépénalisation de l'homosexualité dans le sous-continent.
Candidate au poste de premier ministre du Tamil Nadu, Sasikala a été condamnée à quatre ans de prison pour corruption, le 14 février. Si la Cour Suprême avait rendu son jugement après son accession au pouvoir, l'intéressée serait quand même retournée derrière les barreaux.
Le gouvernement Modi a dévoilé des prévisions économiques optimistes pour 2017 et 2018. Malgré la disparition momentanée de l'argent liquide, jamais le premier ministre indien n'a été aussi populaire dans l'opinion.
Moins d'un mois après le décès de Jayalalithaa, actrice et politicienne adulée par la population du sud de l'Inde, sa confidente s'apprête à prendre le pouvoir, sans être jamais passée par les urnes.
L'Etat Rakhine (nouveau nom de l'Arakan) où vit cette minorité musulmane est sous l'entier contrôle du chef d'état-major de l'armée, le général Min Aung Hlaing.
La disparition des principaux billets de banque continue de bloquer l’économie indienne mais la population plébiscite le chef du gouvernement pour la lutte engagée contre la corruption. La Chine observe la situation avec intérêt.
Il aura fallu attendre deux semaines, depuis le coup de poker de Modi contre l’argent sale, pour que la nouvelle coupure de 500 roupies fasse enfin son apparition à Bombay, capitale économique de l’Inde.