La Cour Suprême de l'Inde est enfin décidée à revoir sa position sur la pénalisation du sexe «contre nature». Mais elle continue de considérer qu'être homo est un choix. Et les médias de faire l'amalgame avec les droits des transgenres.
Narendra Modi est venu baptiser à Bombay, jeudi 14 décembre, le premier des six sous-marins Scorpène achetés à la France en 2005. Avant son arrivée, le quartier de Colaba avait été débarrassé de tous ses marchands de rue.
Une fausse interview de la ministre indienne de l’information circule sur Facebook, après que celle-ci a annoncé (pour de vrai) l’interdiction de la publicité pour les préservatifs, qu’elle juge indécente.
Après un trou d'air consécutif à de mauvais résultats économiques à la fin de l'été, le premier ministre de l'Inde reprend du poil de la bête, au moment où sa région d'origine, le Gujarat, s'apprête à aller aux urnes.
Les 18-25 ans trouvent très majoritairement que le premier ministre nationaliste hindou est le meilleur responsable politique du pays. Ils voient aussi en lui un modèle de vie.
La Cour Suprême de l'Inde n’est pas allée jusqu’à faire entrer la notion de viol entre époux dans le code pénal mais elle vient de décréter que pour un homme, avoir un rapport avec son épouse mineure était un viol. Le gouvernement Modi y était opposé.
Lors d’un passage éclair en Birmanie, Narendra Modi aurait apporté à Aung San Suu Kyi la preuve de liens entre les rebelles musulmans de l’ouest de la Birmanie et les services secrets de l’armée pakistanaise.
Jeudi 24 août, la Cour Suprême de l'Inde a rappelé que la liberté individuelle était un droit fondamental. Un pierre lancée dans le jardin du gouvernement Modi. Et la porte ouverte à la dépénalisation de l'homosexualité.