Il faut cultiver notre jardin, disait Voltaire. Depuis l'année dernière, les autorités libanaises n'ont cure de cette maxime. Elles ont pris très à coeur de tourmenter les cultivateurs de la plaine de la Bekaa, plateau aride situe dans le sud-est du pays. Leur motif ? Eradiquer la culture de plans de hashish,
De ce côté-ci de l'Euphrate, il semble compliqué de parler du Liban sans qu'immédiatement soient mentionnés tous ses voisins – et souvent, les plus redoutés. Car, au Liban, parler de géopolitique régionale est un sport national.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.