Au rythme où vont les provocations et les gaffes en tout genre de Donald Trump, la procédure d’impeachment (destitution) commence à être suggérée, évoquée et même considérée par la presse américaine — le NYT, le Boston Globe et le Washington Post y ont fait référence dans quelques articles — et par le monde politique.
Les journaux britanniques et américains ont, pour la plupart, consacré leur « une » à l’élection d’Emmanuel Macron, mais les choix sémantiques ont révélé des nuances qui s’avèrent des différences majeures.
Avant le deuxième tour de cette élection présidentielle, il semble évident de considérer que le parti le plus important n’est pas celui des abstentionnistes ou des hésitants, mais celui des apprentis-sorciers naïfs et hypocrites.
Les téléspectateurs ont certainement cru vivre un double "remake" dimanche soir, celui de 1995 et celui de 2007, et ont pu légitimement se demander ce qu'il était advenu du respect du scrutin, de l'avenir et, accessoirement, des électeurs...Preuve supplémentaire qu'il est regrettable que Lionel Jospin ait accepté en 2002, l'inversion des législatives et de la présidentielle...
Le premier ministre britannique avait promis que les élections législatives auraient lieu comme prévu en 2020. Changement de cap et dissolution, l'exemple viendrait-il de Turquie ?...
Dans la frénétique recherche de nouveaux accords commerciaux, avant même que ne soit scellée la séparation d'avec l'UE, le gouvernement conservateur britannique s'assoit confortablement sur la morale et l'éthique...
Ce blog héberge exceptionnellement Salah Guemriche, abonné momentanément en retrait du Club et auteur de l'excellent "Dictionnaire des mots français d'origine arabe", qui évoque son dernier ouvrage "Aujourd'hui, Meursault est mort".
À en croire les sondages, ce qui demeure aléatoire, plus de 40% des électeurs ne verraient aucun inconvénient à voter pour deux candidats qui refusent de se soumettre à la justice et vomissent, chaque jour, leur haine de la presse, très inquiétant...
Le passage de Manuel Valls au pouvoir et au PS se résumera à trois chiffres, son score piteux et risible à la primaire de 2011, son utilisation frénétique du 49.3 et son comportement face à la défaite...