L'attribution du prix littéraire britannique The Booker Prize 2016 à un auteur américain suscite des inquiétudes quant à l'avenir des jeunes talents issus du RU, d'Irlande et du Commonwealth.
Elizabeth II imaginait peut-être une fin de règne paisible. Le Brexit et une élection législative partielle ont changé la donne. La société britannique est désormais sous le choc des soupçons de pédophilie qui pèsent sur la mémoire de Ted Heath et qui, par ailleurs, polluent gravement l'image du football britannique.
En règle générale quand on manifeste et quand on descend dans la rue c'est pour protester contre un pouvoir d'oppression, François Fillon, lui, a manifesté, à quatorze ans, pour exercer ce pouvoir...
Le Thatcher français, disent ses admirateurs en extase, en parlant de François Fillon. Est-ce bien raisonnable, en 2016 et bientôt 2017, de prendre un tel modèle ?
Dans la grisaille engendrée par l'élection du 8 novembre, les choix électoraux des Californiens permettent de rêver à ce que Bob Kennedy appelait, en 1968, « un monde meilleur ».
Le référendum britannique du 23 juin sur l’appartenance à l’UE avait révélé une fracture politique, sociale et générationnelle considérable qui avait mis le Royaume-Uni en lambeaux.Or ce qui s’est passé mardi 8 novembre 2016 aux États-Unis relève de la même faille.
Puisque la foule, américaine surtout et européenne également, est devenue folle, il semble utile, pour une fin de semaine paisible, de revoir, par dvd interposés, les deux films adaptés du roman de Thomas Hardy.
Abattement, consternation, humiliation, voilà quelques-uns des vocables qui viennent à l'esprit en évoquant l'élection de Trump. Yvonne Abraham, éditorialiste du célèbre Boston Globe, a résumé tout cela avec élégance et grand talent.