Une entreprise, en soi, n’a pas besoin de formation. Les salariés, oui, et les propriétaires aussi, mais la formation professionnelle ne semble pas leur être destinée. C’est qui une entreprise ? Rappel de quelques évidences.
Pendant les fêtes de fin d’année, on m’a demandé des sous pour tout un tas de causes sociales et médicales qui en valent vraiment la peine. Cela en dit long sur l’incapacité de l’État à assumer aujourd’hui ce qui fait sa raison d’être : la solidarité nationale. Son incapacité ou sa démission ?
Que lis-je dans Médiapart le 5 novembre dernier sous le clavier (plutôt que « sous la plume ») de René Backman : « À l’Onu, la France vote contre un traité d’interdiction des armes nucléaires » ?
Personne n’en parle ! Qu’est-ce qui empêche de faire jouer les unes contre les autres des équipes de foot, de hand ou de basket mixtes, paritaires ? J’aimerais bien que des chercheurs se penchent sérieusement sur la question, car quand on cherche dans Gougueule, on ne trouve rien…
Le 24 août, j’ai reçu un mail d’un site marchand qui collecte auprès de ses clients des fournitures scolaires (avec l’aide de la Croix-Rouge en plus !) pour aider les enfants « défavorisés » au moment de la rentrée scolaire. Comme les dames des patrons d’autrefois !
L’ESS, c’est social, comme économie, par définition, et solidaire en plus, donc l’économie sociale et solidaire, quand on est un militant alternatif au minimum progressiste, on encense ! Moi, j’encense pas.
faut-il au nom de l’emploi continuer à produire des ogives nucléaires, à vendre des véhicules blindés et des avions de chasse à tous les dictateurs de la planète… ? Nos travailleurs n’ont-ils pas mieux à faire ?
Je sens qu’aujourd’hui, je vais en agacer quelques uns, mais tant pis. Je ne sais plus quel homme de gauche j’ai lu il y a peu, je crois que c’est dans Siné mensuel, un journaliste qui disait : « Partager la richesse, il le faut et c’est possible ». C’est le mot « partager » qui ne me va pas. On ne demande pas aux riches de partager.