La vérité est parfois russe, parfois française, anglaise, etc. Mais elle est toujours fragile. C'est un petit torero avec une petite cape rouge face à la bêtise au front patibulaire de taureau.
Le plus important, ce n’est pas la destruction de mon école, c’est l’école elle-même. Je dois donc davantage communiquer sur mes idées pédagogiques, mes méthodes, mon projet, ma vision (carrément). Et comme la vision de l’école débouche forcément sur la vision du monde, je dois communiquer aussi sur ma vision du monde. C’est décidé. Je change le nom du blog.
Nouvel extrait de Aux portes de l’éternité, paru en 2014. Comme le précédent, nous allons l'étudier avec les élèves de troisième. On s’y rencontre, et on s’y rend compte que la complexité est simple, comme les rires et le silence d’une foule, d’un public. Que la pensée n'est pas une épreuve, mais un plaisir.
En parlant de bouc-émissaire à propos des habitants du quartier Paul Brard à Conflans Sainte Honorine, j’ai pensé à Chasseur de primes, et à un bon mot de Jolly Jumper. En relisant l’œuvre, je suis tombé sur l’étymologie du mot « balles ». Et enfin sur un épisode de la résilience amérindienne.
On ne trouve pas dans le Littré, et pour cause, les étymologies des mots argotiques de notre époque ! Je résous en partie ce problème en ce qui concerne le mot "balles". Qui fut successivement dans la langue verte "francs", et "euros".
Le 5 novembre, j’ai comme prévu rencontré le maire de Conflans Sainte Honorine. Il a « répondu » à ma question, oralement, en refusant d’y répondre par écrit.
Pari perdu ! Je rencontre lundi 5 novembre à 15 heures Laurent Brosse, maire de Conflans Sainte Honorine, alors que j’avais parié qu’avant cette date j’aurais rencontré mon député Aurélien Taché, que j’avais saisi à propos du projet de déportation des habitants du quartier Paul Brard, pour réfléchir à la loi qui rend possible cet arbitraire.