C’est inédit. Le turn-over des managers du grand centre hospitalier du Congo-Brazzaville est époustouflant. En l’espace de quatre années, trois directeurs se sont succédé pour tenter d’apporter des solutions aux problèmes qui bloquent le bon fonctionnement de cette structure hospitalière.
Sassou Nguesso l'avait écrit dans sa constitution en son article 66. Modeste Boukadia a dernièrement rappelé cet article 66. Et la RDCongo a emboîté le pas de M. Sassou Nguesso à travers une loi : Pour être Président de la République en RDCongo, il faut être né de parents (père et mère) à 100% congolais.
L’époque est décidément étonnante au Congo-Brazzaville où Sassou Nguesso règne en monarque absolu dans un petit pays pétrolier d’Afrique centrale à la physionomie d’une République. C’est peu dire d’affirmer que Denis Sassou Nguesso prépare activement l’échec d’Anatole Collinet Makosso à la tête du gouvernement. Qui l’entoure, qui l’en boit.
Nous savons que les spécialistes du PCT formés dans les Ecoles de l’ex-URSS et de la Roumanie de Ceaucescu, diplômés en sciences de la désinformation et rompus dans l’art de la manipulation, sont à l’œuvre et capables de fabriquer toutes sortes de diversions.
Notre liberté, celle de nous nourrir notamment, est atteinte, supprimée, puisqu’on ne pourra plus avoir accès dans les Supermarchés et autres magasins d’alimentation pour s’approvisionner. On nous interdit de nous alimenter, et donc on nous oblige à mourir, on nous tue…
La santé de Denis Sassou Nguesso se dégrade dangereusement et il est sous oxygène jusqu’à deux à trois heures par jour sous la surveillance de trois médecins cubains.
Au Congo-Brazzaville, il ne fait pas bon d'user de ses droits de citoyen et donc d'interpeller les autorités de son pays. M. Landry Boumbeya Tchissambou s'est retrouvé en prison pour avoir adressé une Lettre au ministre des Finances, du Budget et du Porte-feuille public, avec ampliations aux premier ministre et autres membres du gouvernement.