CONGONEWS-BRAZZAVILLE

(LIVRE) Il paraît que les Africains en général, et les Congolais en particulier, ne lisent pas. Mais ce livre, qui décrit le système carcéral sous la dictature de Sassou Nguesso, devrait être lu par tous les Africains et les Congolais très particulièrement.

La volonté de Denis Sassou Nguesso de placer sur orbite Christel Sassou avait été stoppée par la bronca menée par Pierre Ngolo au sein du Parti congolais du travail (PCT). La première tentative fût un échec. Le premier ballon d’essai avait fait chou blanc. Ce n’était que partie remise. Il y a belle lurette que l’idée de succession dynastique trotte dans le crâne du fils de « Mama Mouébara ».

Au Congo-Brazzaville (sauf à Oyo ville de Sassou Nguesso où les élèves disposent mêmes des ordinateurs connectés à l'Internet), les élèves apportent leurs chaises en classe pour s'asseoir. Depuis des décennies, Sassou Nguesso ne dote plus jamais les écoles de tables-bancs, mais le Congo est un pays producteur de pétrole et exportateur de bois.

SASSOU et le PCT viennent de marquer un pas important dans le processus de succession du pouvoir de père en fils.

L’idée de la partition ou de la scission du Congo vient du Professeur Jean-Pierre MAKOUTA-MBOUKOU, en 1999.

EDIME KAYI : Sacrilège ! Abomination ! Au nom de son Unité du Sud-Kongo derreière laquelle le Nibolek est à la manoeuvre, Edime Kayi s'est mis à déchirer le drapeau du Congo, le symbole de la République. Si j'étais président de la République du Congo, j'aurais émis un mandat d'arrêt international contre l'impétrant.

Même là-haut l’abbé Fulbert YOULOU reste très attentif à l’actualité mondiale, en particulier, à celle ayant trait au devenir de son pays d’origine, le Congo/Brazzaville et à l’Afrique en général.

Raymond Malonga, directeur de l’hebdomadaire satirique "Sel-Piment", aurait diffamé Georgette Okemba, épouse de l’Amiral Jean-Dominique Okemba, conseiller spécial du président Denis Sassou Nguesso, l’accusant d’avoir détourné un milliard de FCFA (1,5 million d’euros) du Trésor public.

Le Congo-Brazzaville va mal, il faut le dire et le clamer haut et fort car la situation devient intolérable. Ne pas le dénoncer c’est être complice de la dégradation de notre pays.

Un émouvant témoignage de M. Christian Blay qui avait longtemps douté de ce que les journalistes africains et occidentaux disaient du régime de Brazzaville et son système politique.