Ma liberté est de préférer la Liberté de soins et d’avoir le choix de ne pas introduire dans le tréfonds de mon immunité unique une protéine spike qui en prend le contrôle et qui ne peut en aucun cas faire face aux 3000 coronavirus connus à ce jour …
Cela s’exprime encore aujourd’hui et principalement sur les réseaux sociaux, ou les « volontouristes », publient des photos d’eux au milieu d’enfants rachitiques, dans des écoles et des hôpitaux qu’ils visitent.
Ils sont engagés dans une véritable course à la mention j’aime sur Facebook, sans faire aucun effort pour comprendre le contexte culturel. La souffrance obtient plus de likes.
la protection de l’environnement n’ont jamais été une priorité pour nos gouvernants. Au-delà de la communication, des effets d’annonces et des campagnes électorales, nos personnels politiques sont absents des grands sujets qui nous concerne. On ne doit pas s’étonner qu’ils poussent à la vaccination obligatoire et au passe sanitaire, c’est plus simple et n’engage pas leur responsabilité.
Et quand l'arme de la peur ne fait plus peur tout est possible, le pire comme le meilleur. Quoiqu’il en soit les martiniquais devront être unis pour affronter cette période et ne pas céder aux stratégies de division qui consistent à parcelliser l'identification des problèmes
Quand on ne croit plus en un destin collectif, l'individualisme devient une norme sociale. La décennie écoulée est celle d'un fragile optimisme individuel et d'un fort pessimisme collectif
Chaque fois que nous voyons des jeunes en échecs, des jeunes dépourvus de stimulation esthétique, culturelle ou spirituelle, il faut se dire que la violence est déjà-là et qu’elle nous regarde !
Aujourd’hui plus de 80% des martiniquais ne sont pas vaccinés cela en dépit de la campagne de peur menée par le gouvernement avec son lot de menaces, de décisions coercitives, de désinformation de masse, des tentatives de séduction de certains de nos élus, c’est : AWA, NON, NENNI, NIET.
Tout portait à croire que l’autonomie gagnait l’acceptation de la population, notamment avec la célèbre phrase de Pierre Aliker « Les meilleurs spécialistes des affaires martiniquaises sont les martiniquais eux-mêmes ».
Une telle situation commence à trouver des réponses soit dans l’économie parallèle, le trafic de drogue, la prostitution, le grand banditisme, la contestation sociale de masse ou la radicalisation antisystème.