Le célèbre youtubeur a dénoncé dans une vidéo diffusée le 19 novembre l’enquête que nous avons publiée le 23 juin à propos des violences sexistes, sexuelles et psychologiques qu’il aurait commises. Explications sur nos méthodes d’enquête, qui ont permis la publication d’un nouveau volet.
« Cot cot cot codec. » C’est le caquètement d’un député de droite contre une élue écologiste qui a suscité la création de notre « Machoscope » en 2013. Depuis, Mediapart, recense le sexisme subi par les femmes en politique. Après une décennie de bons et loyaux services, la formule disparaît. Pour mieux s’imposer dans nos pages.
Après des révélations de Mediapart sur le milieu musical, un de nos journalistes a été la cible de messages, très réguliers, dénigrant son travail. Les témoins d’une de nos enquêtes ont aussi été prises pour cibles.
Nous avons récemment lancé deux projets pour penser et améliorer nos pratiques journalistiques, à notre écriture et à nos biais en terme de genre. Au menu : une charte pour l’écriture inclusive et le lancement d’une mesure du nombre d’hommes et de femmes cité·es dans nos articles.
La Lettre pour tous·tes de Mediapart sera diffusée un jeudi sur deux. On vous y raconte l’actualité des questions de genre, des violences sexistes et sexuelles, des mobilisations féministes et LGBTQ+. Et comment Mediapart travaille sur ces sujets au quotidien.
Dans son dernier livre, le polémiste d’extrême droite Éric Zemmour met en cause le travail de notre rédaction sur les violences sexistes et sexuelles. Tout en omettant, à l’unisson d’une grande partie de la presse, les accusations qui le visent.
« Libération » a exprimé « son profond regret » en réaction aux protestations contre la publication d'une tribune d’un jeune homme reconnaissant un viol conjugal. Au-delà de la polémique, ce choix pose une vraie question journalistique sur la couverture médiatique des violences sexuelles.
Mediapart a décidé de créer début octobre un nouveau poste de « responsable éditoriale aux questions de genre », inspiré des « gender editors » installés dans plusieurs médias. L'objectif : mieux valoriser notre couverture déjà riche de ces sujets, et contribuer à un journalisme plus attentif à des problématiques trop souvent oubliées.
Depuis plusieurs semaines, les milieux de la gastronomie ont relayé publiquement une « rumeur » : celle d’une enquête de Mediapart sur les violences sexuelles en cuisine. « Rumeur » revenue de façon plus insistante depuis l’annonce du suicide du chef Taku Sekine, valeur montante récompensée de plusieurs prix. Voici nos explications.
Le député a osé intervenir lors du débat sur la loi contre les violences sexuelles pour « mettre en garde » contre les « rumeurs » alimentées par de supposées « officines ». Il est visé par plusieurs témoignages d’agressions sexuelles et de sexisme. La ministre de la justice n’a rien trouvé à redire.