Par L'Épistoléro
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C’est le temps faire l’éloge de la coquille. Pas de la coquille vide mais de la coquille pleine. Celle qu’on appelle la coquille typographique.
Elle est pleine de sens, de fantaisie, de poésie. Ravissante, elle ravit un autre sens de la lecture.
Par L'Épistoléro
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Le Président exhorte son gouvernement à ne jamais céder aux Cassandre(s). Près de lui, dans le regard d'un ministre, agrégé de Lettres Classiques, c’est le Cheval de Trop en marche.
Par L'Épistoléro
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Au hasard d’une coquille dans la presse, voilà que le peuple tapi dans l’ombre se retrouve « tapis dans l’ombre ».
C’est un drôle de tissu social qui se trame. Il recouvre. Il étouffe. C’est la faim de parti qui impose le silence du nombre. Le citoyen le cède au militant. Le militant relance, le citoyen se couche, tapi dans le nombre.
Par L'Épistoléro
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Macroniste. Le mot a sonné à ses oreilles, à l’écoute de la radio, ce matin. Rien à voir avec un inattendu Marxcron-léniniste ou avec l'inégalable Bourdivin.
Par L'Épistoléro
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«J’ai commencé à écrire des chansons quand j’étais très jeune […] Il se trouve que j’étais doué pour ça. Bien que je n’aie pas été très bon à grand-chose d’autre à l’école, dans mon cours de création littéraire ou lorsque nous devions écrire des rédactions, j’avais tendance à être meilleur que les autres.» (Bruce Springsteen in Rolling Stones, novembre 2016)
Par L'Épistoléro
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Le Temps ne fait rien à l’affaire est une chanson qu’on servit sur les ondes de la radio suisse après l’avoir censurée sans honte. Ça se passait dans les années 60. Sixties qui stigmatisent. C’est en écoutant un épisode de la série des médias francophones consacré aux thèmes de Brassens que l’auteur de ce petit texte a découvert qu’on avait expurgé, jadis en Suisse, ce magnifique titre.
Par L'Épistoléro
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En tombant sur l’expression « granulaire didactisé », le professeur se fait mal et chope la honte. Il y aurait donc des ressources granulaires didactisées aptes à améliorer son enseignement…Personne ne l’a invité à un stage ou ne lui en a parlé jusque là…
Pendant les vacances, il n’a pas reçu, sur son mail pro, ce message qu’il aurait rassuré : « À la rentrée, si tu reviens, je granule tout. »