Par L'Épistoléro
| 24 commentaires
| 9 recommandés
[Écrire sans -e comme Georges Perec en s’aidant de quelques chevilles puisées dans La Disparition. Version 4.0. 922 mots (la précédente en comptait 645)]
Par L'Épistoléro
| 33 commentaires
| 24 recommandés
Né dans le Cotentin, il est sorti d’une mer de mots. Débrouillé. Il dit, il chante, il hurle. Il tempête, la mer toujours recommencée. Sortis de la Manche, les mots glissent. Carré d’as. Plus tard il chantera la manche dans SDF.
Par L'Épistoléro
| 23 commentaires
| 7 recommandés
Nous sommes sous l’emprise croissante d’un machisme gaulois. Il imprègne le débat, gagne du terrain. On parle même de gangrène dangereuse.
"machisme gaulois" est l'anagramme de…enfin…vous savez quoi…lis, slame, ô gauchiste !
Par L'Épistoléro
| 11 commentaires
| 4 recommandés
Il y a des chansons qui reposent sur du mal entendu et vous répètent « Je ne suis pas celle que vous croyez écouter ».
Ces chansons rongent leur frein et leur refrain parce qu’elles sont mal comprises. Les gens qui les aiment leur rétorquent, vexés : « Fredonner, c’est fredonner. Reprendre, c’est voler ».
Par L'Épistoléro
| 18 commentaires
| 9 recommandés
La vie d’un arbre n’a rien à voir avec la froideur d’un socle. Il réagit. Le végétal bruisse de toutes ses feuilles, il grince de toutes ses branches : il vit, il vibre de sa vie d’arbre.