Le révolutionnaire russe Hertzen a appelé la dialectique "l’Algèbre de la Révolution". C'est en réalité beaucoup plus que cela, sa valeur s'étend à toute connaissance humaine, de la société ou de la nature. Mais c'est au moins cela !
Les solutions proposées, qui ont échouées hier et avant-hier, ne feront pas mieux demain. Il est temps que vous le leur signifier.
Si vous nous accordez votre confiance, nous serons comme nous le sommes dans la vie de tous les jours : à votre écoute, disponibles pour vous accompagner et engagés à traiter vos problèmes et difficultés.
Les gagnants des sondages sont rarement les gagnants des urnes
Et le peuple qui vote, ne valide pas des sondages mais exprime un choix mûr et réfléchi
Ceux qui lui substituent les sondages, qu'ils soient d'extrême droite, droite, ou de gauche, le manipulent et lui mentent!
La traduction de Assad devant un tribunal pénal nternational pour crimes contre l'humanité est une condition sinequanone pour remettre l'histoire dans le bon sens
J'en appelle à celles et ceux qui ne font plus confiance à celles et ceux qui n'ont connu que le système comme mère nourricière de faire le choix de l'honnêteté, de la combativité et de l'humanité
Votez Hamon vous votez POUR pas par défaut
Nous assistons aux funérailles conjointes du général de Gaulle et de François Mitterrand, les deux grands inspirateurs de cette brève tranche d'Histoire. Sous nos yeux, en effet, le clivage droite-gauche s'est transformé en un quinquapartisme favoris des médias et des sondeurs devenus faiseurs des rois, avec les candidatures de JL Mélenchon, B. Hamon, E. Macron, F. Fillon et M Le Pen.
Ne pas soutenir Benoît HAMON est une casus belli aux militants et aux citoyens de gauche, qui mène à l’échec en plus de l’éclatement du PS. Si les Hollandais derrière Stéphane Le Foll veulent laisser le seul choix possible aux citoyens entre une escroquerie, une usurpation de légitimité "réformatrice" et la xénophobie, ils savent quoi faire : priver Benoît Hamon de leur soutien !
Quand le journalisme prend fait et cause pour Emmanuel Macron par exemple et se fourvoie de la sorte, il n'y a que trois interprétations possibles :
Il est aveugle, Il est manipulé, ou il en a pas !
Une seule remarque : si Vincent Peillon avait évoqué Sabra et Chatila, Timisoara, Kigali ou un autre exemple à la place des chambre à gaz, pourtant des fait au moins aussi graves, je ne suis pas certain que la mayonnaise serait montée aussi vite et que des réclamations de son départ soient prononcé.
Voilà donc une indignité d'élus qui pour faire diversion attaquent la République dans le coeur de son fonctionnement et de sa constitution : la séparation des pouvoirs et l'indépendance du pouvoir judiciaire du pouvoir politique.