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À l'approche de la nouvelle audience d'extradition de Julian Assange, la Maison des Lanceurs d'Alerte réaffirme son soutien au fondateur de WikiLeaks dans une tribune publiée ce jour et cosignée par douze autres organisations, dont cinq grandes organisations de journalistes.
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Le 24 janvier, le lanceur d'alerte Amar Benmohamed, brigadier-chef qui a révélé des faits de racisme et maltraitance dans la police, a été sanctionné pour avoir témoigné à l'Assemblée nationale. Des personnalités du monde associatif et syndical mais aussi des élus, avocats ou universitaires lui apportent leur soutien via une pétition lancée par la Maison des Lanceurs d'Alerte, la LDH et l'ACAT.
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Ce vendredi 4 février, StreetPress révélait que l’enquête administrative infligée à Amar Benmohamed, suite à son témoignage devant l’Assemblée nationale en février 2021, s’était conclue par un avertissement. La Maison des Lanceurs d'Alerte réaffirme son soutien à ce policier lanceur d'alerte et annonce qu’elle l'aidera dans toute démarche visant à contester cette sanction.
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La coalition de 36 associations et syndicats réunie par la Maison des Lanceurs d’Alerte se félicite des avancées majeures pour la protection des lanceurs d’alerte adoptées aujourd’hui par la commission mixte paritaire. Un signal fort est ainsi donné en faveur de la vigilance citoyenne.
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Ce jeudi 20 janvier, le Sénat étudiait la proposition de loi améliorant la protection des lanceurs d'alerte pour laquelle la coalition d'organisations réunie par la Maison des Lanceurs d'Alerte est fortement mobilisée. Après un vote particulièrement alarmant en commission des lois en décembre, la majorité sénatoriale a confirmé être passée à côté des enjeux d'un texte pourtant d'intérêt général.
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Mercredi 19 janvier, alors que les sénateurs s’apprêtent à discuter la proposition de loi visant à améliorer la protection des lanceurs d’alerte, 36 organisations de la société civile, regroupant associations, syndicats et lanceurs d’alerte, se sont réunies devant le Sénat pour appeler les sénateurs à clarifier et renforcer le dispositif de protection des lanceurs d’alerte en France.
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… au mépris du droit européen. Le 15 décembre, la commission des lois du Sénat a examiné la proposition de loi sur la protection des lanceurs d’alerte. Ce texte, adopté à l’unanimité à l’Assemblée, porte en lui l’espoir d’un réel renforcement des droits des lanceurs d’alerte. Or, les propositions des sénateurs, instrumentalisés par les lobbies, ouvrent la voie à des régressions inquiétantes.
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Le 8 décembre 2021, le parquet national financier (PNF) et la Maison des Lanceurs d’Alerte (MLA) ont signé un protocole d’accord qui a pour objectif de définir les modalités pratiques de leur coopération. Juliette Alibert, avocate auprès de la Maison des Lanceurs d’Alerte, revient sur les enjeux de cette collaboration.
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Le 25 février, Valérie Murat et l’association Alerte Aux Toxiques ont été condamnées à payer 125 000 € au CIVB (Conseil Interprofessionnel des Vins de Bordeaux) et à d’autres professionnels du vin après avoir signalé la présence de pesticides de synthèse dans les vins de plusieurs domaines bordelais labellisés HVE. Une condamnation exorbitante qui nécessite la mobilisation de toutes et de tous.
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Depuis près de deux ans, la Maison des Lanceurs d’Alerte accompagne la lanceuse d’alerte ayant signalé de graves dysfonctionnements concernant les masques de protection amiante PROFLOW 2 SC 160 ASBESTOS utilisés notamment sur les chantiers de désamiantage. Elle interpelle le Ministère du Travail qui a publié un avis qui tend à nier la réalité de ces dysfonctionnements.