Par Marco Cesario
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A Riace, sud de l'Italie, 5.000 personnes ont défilé sous les notes de Bella Ciao en solidarité avec le maire suspendu de ses fonctions pour avoir accueilli des migrants. Le modèle Riace, qui inclut migrants et réfugiés, est un exemple d'intégration
Le nouveau mouvement né du centre social autogéré napolitain Ex-OPG débarque à Paris. Rencontre avec le leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélénchon, suivi d’une assemblée publique à la Maison des Associations de Montreuil
En Italie la journaliste Laura Silvia Battaglia a promu une campagne sur les réseaux sociaux en réponse à un article publié dans le quotidien italien Libero. La campagne est devenue virale en quelques heures seulement.
Appel à Martin Schultz-Président Parlement Européen: le droit offre à toute personne persécutée en raison des ses opinions ou de son identité, menacée par la violence, la guerre, la misère, la possibilité de trouver ASILE dans un autre pays que le sien.
Après les expulsions, la violence policière et l'indifférence des partis, du monde politique et d'une partie des médias, le Comité de soutien des migrants de la Chapelle s'est mobilisé: il ne laissera pas les migrants seuls.
Le moment est très mal choisi. A peine sortie de l’impasse, fragile (et fragilisée), prise dans la tempête des marchés l’Italie (et l’Europe) est confrontée à un nouveau revers qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur toute la zone euro:la démission de l'austère Mario Monti (technocrate imposé par la troïka) et le conséquent retour en selle de Silvio Berlusconi qui a officialisé son intention de briguer un sixième mandat.
Chronique de fin de règneDes milliers de personnes se sont ressemblés le 12 Novembre dernier devant le siège de la présidence de la République Italienne pour manifester leur joie après la démission du président du conseil italien Silvio Berlusconi. Une scène qu'on n'avait pas vu en Italie depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Une foule immense a envahi le lieu-symbole de la démocratie italienne.
La chute de Papandreou et celle de Berlusconi ne sont pas des simples conséquences de la crise. Nous assistons à la fin de la souveraineté nationale basée sur le choix des candidats par le biais des élections démocratiques et à l'imposition de gouvernements de technocrates choisis par la triade FMI-UE-BCE et par la pression insoutenable des marchés financiers.