Marie K.

Autrice engagée, chroniqueuse sociale

Nîmes - France

Sa biographie
Autrice engagée, j’analyse et déconstruis les idéologies dominantes à travers une critique sociale incisive. Mon écriture s’attaque aux impasses des luttes féministes, politiques et culturelles, avec pour seule boussole la recherche de la vérité et la mise à nu des impostures. Observatrice du quotidien,1 je cherche à réveiller les consciences et à poser des questions essentielles pour une véritable émancipation.
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  • La solidarité à l’épreuve du modèle bourgeois

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    Dans un monde où la précarité et l’isolement explosent, la solidarité reste souvent confinée au modèle bourgeois, reproduisant les privilèges et les réseaux de pouvoir. Les vrais altruistes, eux, se retrouvent isolés et invisibles, dans un système qui préfère le calcul à l’empathie.
  • Quand la famille enferme : essai sur les illusions sociales

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    Cet essai raconte comment les illusions autour de la famille et de la maternité enferment : croire que les hommes doivent toujours être assistés, ou qu’une femme ne devient complète qu’à travers un homme et/ou un rôle de mère, sert souvent à renforcer son image sociale plutôt qu’à libérer. Ici, on déconstruit les mythes. Ou quand " la famille " a vertu émancipatrice confine au lieu d'ouvrir .
  • Dénoncer l’impensable : la double peine des victimes

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    L’inceste reste un tabou. Je soutiens toutes les victimes et je les crois, Caroline Darian y compris. Désigner une femme comme féministe quand elle ne respecte pas les principes fondamentaux est une erreur. Mon histoire montre qu’oser dénoncer l’impensable peut accentuer le rejet et la marginalisation, en plus de la violence déjà subie.
  • Flagrant délit : coaching de vie, limites et arnaque en terrain glissant

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    Chaque corps subit la peur, mais réduire un génocide à un problème individuel, c’est nier l’Histoire et faire porter, plus communément la faute aux victimes.
  • Simone Weil : entre respect des symboles et défense de l’humain

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    Respecter cadres et symboles est essentiel, mais jusqu’où ? Simone Weil rappelle que le respect n’est jamais dû. Une collectivité n’est légitime que si elle émancipe, soutient et protège la dignité des individus. Quand elle devient outil de contrôle, s’exprimer devient un devoir.