Marina Déak

Réalisatrice, auteure.

Paris - France

Sa biographie
J'essaie de penser deux trois choses et de les mettre en forme, sous diverses formes : depuis mon nombril mais plus loin que le bout de mon nez
Son blog
14 abonnés Le blog de Marina Déak
Voir tous
  • A REAL PAIN: grande peine, une vraie plaie, grands points aveugles

    Par
    D’abord dire l’intelligence du titre, pas évident à traduire : « une vraie plaie », peut-être ? A real pain, c’est une grande peine, une vraie souffrance, et aussi a pain in the ass, un sacré emmerdeur, ce qui est à la fois considérablement plus pénible à supporter, de manière immédiate, et considérablement moins grave qu’une grande peine.
  • Dans LA PAMPA, complètement à l'ouest (et JULIE SE TAIT / LA MER AU LOIN 1/2)

    Par
    Ils font tous du motocross ou quoi ? Belle-épine, Vingt dieux, la pampa… Moi, il m’arrive d’aller à la campagne, et pas seulement dans les bocages du Perche, je n’en vois pas tant que ça, quelques quads parfois qui passent en vrombissant mais pas une piste de motocross à chaque carrefour de chaque zone rurale, non, il ne me semble pas que ce soit LA activité omniprésente
  • BABYGIRL, encore loupé

    Par
    BABYGIRL film de Halina Reijn, avec (et produit par) Nicole Kidman. Tremblé de la caméra et rides qui se cachent (ou : le poème des lèvres refaites). (on peut bien s'amuser un peu parfois)
  • LES PETITS PLAISIRS, LA MORT, MOI MOI ET ENCORE MOI - LA CHAMBRE D’A COTE, Almodovar

    Par
    Attention cette note contient un spoiler. Dire que l’héroïne meurt à la fin ? elle meurt, certes, mais ce n’est rien dévoiler que de l’écrire, tout le monde le sait - sauf à avoir été très inattentif avant de plonger dans la salle de cinéma
  • DIRECT ACTION ! Le cinéma, magie et politique (Coppola, Bertolucci, et aujourd'hui)

    Par
    Magique ou pas  « Ombre et lumière », « magie ou leurre », « mort ou renouveau du cinéma » - tentant d’entamer ce texte, qui pourtant me tient à cœur, je ne cesse de buter sur des clichés, de tomber dans des ornières de sens. C’est peut-être que le cinéma oscille lui-même terriblement au bord de ces ornières...