À l’heure où, après le scandale Weinstein et autres révélations sur le harcèlement masculin, les manifestations vociférantes des Féministes, #MeToo et #Balancetonporc font lever un bouclier de haine envers les hommes sur l’Internet et dans la rue, il convient de se pencher sur l’Éternel Féminin, et de rétablir un jugement éclairé et impartial sur les relations entre les deux genres.
Dans le climat ambiant du matérialisme néo-libéral du gouvernement Macron, le livre de Daniel SALVATORE SCHIFFER, Traité de la mort sublime. L’art de mourir de Socrate à David Bowie, apparaît comme un rappel salutaire à un humanisme éclairé, une intégrité et dignité de vie et de principes, un code moral empreint de stoïcisme exprimé dans un Dandysme métaphysique.
Des soirées scintillantes de Fraternité pour illuminer de leur authenticité, de leur beauté, de leur joie et de leur énergie, le sombre climat ambiant de matérialisme, de peur, de mépris, de haine et de violence envers l’Autre. Celui qui est banni, oublié, conspué par ce présent gouvernement autocratique qui impose des mesures liberticides en violation de la Déclaration des Droits de l'Homme.
Non à l’appauvrissement des artistes et auteurs !Nous, artistes et auteurs, demandons une égalité de traitement avec l’ensemble des autres actifs : compensation complète de la hausse de la CSG et augmentation du pouvoir d’achat.
Le petit roi Macron, à 'l'intelligence supérieure', 'Louis XIV doublé de Blaise Pascal', selon Christophe Barbier, qui se targue de philosophie et de gargarise de citations littéraires, mais prétend 'qu'il n'y a pas de culture française', et que 'l'art français' n'existe pas, pénalise les artistes et les écrivains.
La diversité de la création contemporaine française et la complexité de l’univers du livre à laquelle sont désormais soumis les auteurs seront au coeur de cette journéedu 18 octobre à la SGDL. Entrée libre:il suffit de s’inscrire à communication@sgdl.org
Éloge à la reine mère par le petit-roi Macron aux État-Unis d’Amérique, le 20 septembre 2017, sur la chaîne de télévision CNN, ou ‘Il ne faut prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages…’
Sarkozy a voulu récrire l’histoire, le ‘roman national’ afin de l’orienter politiquement à ses fins, Macron opère la même instrumentalisation pour créer sa propre légende. Il cannibalise les symboles historiques d’une royauté de pacotille revue et corrigée, une 'faction', mélange de faits et de fiction, qui s’apparente plus à la 'Ruritanie' qu'à la réalité historique de la France.
Macron, l’ex-financier de la Banque Rothschild, ex-Ministre des Finances, sacré par défaut et imposture Président des Français, dont il se sent légitimement roi, n’est qu’un yuppy post-thatchérien blairiste qui aspire à appartenir au club exclusif de ‘ceux qui réussissent’, les milliardaires, afin de jouir en toute tranquillité des ‘Nourritures Terrestres’ en compagnie de son alter ego.