Il parait que c’est l’IA qui maintenant va décider du sort des élections .Si des gens commencent à se renseigner, ce n’est gagné pour personne. Mektoub !
Les autoroutes de l’extrême droite ne sont pas pavées de hasard : elles sont construites, financées et entretenues par des intérêts qui savent que la peur circule plus vite que la pensée. Chaque bretelle mène au même péage : l’exclusion, la haine, le repli. Derrière les slogans, c’est une ingénierie du cynisme
Car l’histoire n’est plus mémoire, mais procès-verbal. Le destin n’est plus ouverture, mais clôture. Alors il ne reste qu’un peuple assigné à résidence dans le récit des autres. Arrêter l’histoire : voilà l’ambition des pouvoirs qui craignent la liberté. Macron, ses gendarmes, ses grenades, ses procès : tout doit se réduire à un récit officiel.
Start-up nation ou vieille rengaine ? On nous apprend à avaler l’ignoble comme une évidence. On ne prépare pas l’avenir, on prépare " le meurtre". Voilà le véritable projet : habituer les consciences à l’inacceptable. Le danger est immense.
Dans le grand théâtre politique, certains croient jouer les chefs d’orchestre. Kasbarian, lui, préfère le rôle de crieur public : il hurle, il pérore, et derrière ses délires, ce sont toujours les plus fragiles qui paient l’addition.Guignol infatué !
Ce matin, j’ai fait ma petite BA. N’allez pas croire que je sois meilleur ou plus riche qu’un autre. Pas du tout. C’est dimanche, avant de filer vers la Méditerranée, ( je pars au bled), j’ai pris ma vieille Mercedes de 23 ans qui tourne comme une horloge, et je suis allé chercher un café en gobelet.
On nous a répété pendant des siècles que le travail était une vertu, une voie vers la dignité, parfois même vers la liberté. Mais cette illusion s’effondre dès qu’on regarde la réalité en face.Le travail, tel qu’il est organisé aujourd’hui, n’émancipe pas : il enchaîne.Il ne libère pas : il soumet.Il ne construit pas des vies : il les use, les broie, les réduit à des chiffres de productivité.