Pierre-Albert Casimir

Enseignant et doctorant en histoire

Paris - France

Son blog
19 abonnés Un dictionnaire politique
Voir tous
  • De la bienfaisante Europe (II)

    Par
    La douloureuse mise en place d’un atroce gouvernement italien et le retour en force de la question migratoire a permis de revoir sur le devant de la scène cette Europe libérale et autoritaire, prompte à réprimer au mépris de la démocratie toutes velléités de critiques contre l’ordre financier de l’euro et muette face à la xénophobie et au racisme le plus crasse.
  • De la bienfaisante Europe (I):

    Par
    La douloureuse mise en place d’un atroce gouvernement italien et le retour en force de la question migratoire a permis de revoir sur le devant de la scène cette Europe libérale et autoritaire, prompte à réprimer au mépris de la démocratie toutes velléités de critiques contre l’ordre financier de l’euro et muette face à la xénophobie et au racisme le plus crasse.
  • De la diplomatie macronienne: les mots d’une faillite (II)

    Par
    La spectaculaire dénonciation des conclusions du sommet du G7 de Charlevoix par Donald Trump en route pour Singapour a été accueilli avec une surprise étonnée par les dirigeants européens, notre exceptionnel président en tête. Pourtant, comme le dit si bien l’adage américain : fool me once, shame on you ; fool me twice, shame on you.
  • La fausse évidence du libre-échange

    Par
    À l’issue de la réunion du G7 ce week-end à Charlevoix, un frisson parcours l’échine de nos dirigeants. Le libre-échange est battu en brèche par le primus inter pares lui-même. Si l’empressement à dénoncer le nationalisme américain est louable, il est aussi suspect : on naturalise ainsi le libre-échange en fétiche sacré et partant non critiquable.
  • De l’homme pauvre (II)

    Par
    À la suite de la tribune comique de Benjamin Griveaux, bourgeois infatué daignant se rappeler l’existence des plus humbles, on apprend mercredi que des conseillers ministériels liraient avec ardeur le nouveau livre d’Edouard Louis, non pas comme un récit anti-libéral mais comme la démonstration de la faillite du père de l’auteur à s’émanciper de sa condition ouvrière.