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La douloureuse mise en place d’un atroce gouvernement italien et le retour en force de la question migratoire a permis de revoir sur le devant de la scène cette Europe libérale et autoritaire, prompte à réprimer au mépris de la démocratie toutes velléités de critiques contre l’ordre financier de l’euro et muette face à la xénophobie et au racisme le plus crasse.
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La douloureuse mise en place d’un atroce gouvernement italien et le retour en force de la question migratoire a permis de revoir sur le devant de la scène cette Europe libérale et autoritaire, prompte à réprimer au mépris de la démocratie toutes velléités de critiques contre l’ordre financier de l’euro et muette face à la xénophobie et au racisme le plus crasse.
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La spectaculaire dénonciation des conclusions du sommet du G7 de Charlevoix par Donald Trump en route pour Singapour a été accueilli avec une surprise étonnée par les dirigeants européens, notre exceptionnel président en tête. Pourtant, comme le dit si bien l’adage américain : fool me once, shame on you ; fool me twice, shame on you.
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À l’issue de la réunion du G7 ce week-end à Charlevoix, un frisson parcours l’échine de nos dirigeants. Le libre-échange est battu en brèche par le primus inter pares lui-même. Si l’empressement à dénoncer le nationalisme américain est louable, il est aussi suspect : on naturalise ainsi le libre-échange en fétiche sacré et partant non critiquable.
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À la suite de la tribune comique de Benjamin Griveaux, bourgeois infatué daignant se rappeler l’existence des plus humbles, on apprend mercredi que des conseillers ministériels liraient avec ardeur le nouveau livre d’Edouard Louis, non pas comme un récit anti-libéral mais comme la démonstration de la faillite du père de l’auteur à s’émanciper de sa condition ouvrière.
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À la suite de la tribune comique de Benjamin Griveaux, bourgeois infatué daignant se rappeler l’existence des plus humbles, on apprend mercredi que des conseillers ministériels liraient avec ardeur le nouveau livre d’Edouard Louis, non pas comme un récit anti-libéral mais comme la démonstration de la faillite du père de l’auteur à s’émanciper de sa condition ouvrière.
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Alors qu’en Italie se prépare dans la douleur des conflits institutionnels un inquiétant gouvernement résultant de l’alliance entre une force poujadiste grimée de quelques signes de gauche et une force xénophobe dotée des éternels atours de l’extrême droite, quelques réflexion sur un mot utilisé massivement dans le débat public depuis le début de la décennie :
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Alors qu’Emmanuel Macron reçoit aujourd’hui des mains des notables européistes d’Aix-la-Chapelle le prix Charlemagne, quelques mots pour dire la spectaculaire vacuité de sa politique étrangère.
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Au lendemain d’une belle fête populaire et de gauche dans les rues de Paris, quelques réflexions sur les mots dont les macronistes et les conservateurs de tous horizons ont fait usage pour délégitimer la manifestation. D’autres avant eux avaient utilisé ces artifices rhétoriques pour interdire des manifestations et museler la contestation sociale.
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Alors que la polémique sur les violences du 1er mai n’a cessé de rebondir et de s’égarer dans des développements touchant au comique cette semaine, quelques réflexions sur ces événements, leurs conséquences sur le mouvement social et leur signification politique.