Le blog de PIERRE SASSIER

Il n'aura fallu que deux mois pour que la réélection de Donald Trump se confirme comme une véritable menace contre la liberté d'expression, contre la séparation des pouvoirs, contre les dispositions constitutionnelles qui régissent la vie démocratique du pays.

Paradoxalement, le réchauffement climatique peut être la cause indirecte d'une ère de glaciation en Europe, en raison d'une perturbation des courants marins qui réchauffent notre continent.

Il n'y a pas trop d'illusions à se faire : les chances que cette lettre arrive à son destinataire sont infimes. Mais une lettre ouverte est un procédé d'expression qui s'adresse autant à ses lecteurs qu'à son destinataire.

Si Poutine et Trump arrivent à se coordonner, c'est en raison de la même absence de valeurs : ils mentent tous les deux comme ils respirent et aucune personne en possession de toute sa lucidité ne peut leur faire confiance...

Munich ou Yalta ? Sans doute l'un et l'autre, car les deux larrons en foire pourraient bien profiter de l'occasion pour redéfinir leurs zones d'influence. En ce premier quart de siècle, le "Si vis pacem, para bellum" des romains n'a jamais été autant d'actualité.

C'est une soviétisation qu'annonce l'attaque frontale de la nouvelle administration américaine contre une science qui ne dit pas ce que le Pouvoir aimerait entendre. C'est aussi un retour de l'obcurantisme qui a mené Michel Servet au bûcher et Galilée en prison.

Il y a quelques jours au cours d'un entretien télévisé, Emmanuel Macron évoquait avec enthousiasme la place qu'il veut donner à la France dans la course à l'intelligence artificielle et annonçait la mise en place de partenariats avec l'Inde pour la technologie et avec les Emirats Arabes Unis pour le financement.

Dans les années 70, raconte Luc Ferry qui étudiait alors à l'université d'Heidelberg, sa classe est amenée à se faire passer mutuellement des tests de QI. Le score moyen des étudiants tourne autour de 110.

Le Vertiport, c'était cette station de taxis-drones installée sur un ponton de la Seine, à proximité de la gare d'Austerlitz. L'idée même de voir survoler Paris par ces taxis volants faisait l'objet de multiples contestations et d'un rejet généralisé des associations et des citoyens.

Ces voeux de Nouvel An sont à marquer d'une pierre blanche dans les annales de la macronie, car l'autocritique ne fait guère partie des exercices préférés de notre Président.