Alors que l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron ou d’une dissolution de l’Assemblée nationale gagne en crédibilité, une question cruciale se pose : peut-on réellement redonner la parole aux citoyens sans changer les règles du jeu ? Si les élections anticipées sont envisagées, elles risquent de reproduire les mêmes impasses sans réforme profonde du système électoral.
Une élection partielle à lieu de dimanche 5 octobre en Tarn-et-Garonne pour trouver le ou la successeur de Mme Barège, rendue inéligible pour avoir utilisé des employés de mairie pour sa campagne de 2024. Retour aux urnes pour que les Tarn-et-Garonnais de la première circonscription choisissent leur représentant dans une assemblée où n'existe aucune majorité claire.
Les électeurs de la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne sont appelés aux urnes pour le premier tour d’une élection législative partielle. Douze candidats sont en lice, dont moi-même, Pierre Schwarz. Voici une projection de deux futurs alternatifs selon le vote des citoyens : l’un issu du système politicien traditionnel, l’autre fondé sur une démarche démocratique renouvelée.