Alors que l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron ou d’une dissolution de l’Assemblée nationale gagne en crédibilité, une question cruciale se pose : peut-on réellement redonner la parole aux citoyens sans changer les règles du jeu ? Si les élections anticipées sont envisagées, elles risquent de reproduire les mêmes impasses sans réforme profonde du système électoral.
Une élection partielle à lieu de dimanche 5 octobre en Tarn-et-Garonne pour trouver le ou la successeur de Mme Barège, rendue inéligible pour avoir utilisé des employés de mairie pour sa campagne de 2024. Retour aux urnes pour que les Tarn-et-Garonnais de la première circonscription choisissent leur représentant dans une assemblée où n'existe aucune majorité claire.
Les électeurs de la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne sont appelés aux urnes pour le premier tour d’une élection législative partielle. Douze candidats sont en lice, dont moi-même, Pierre Schwarz. Voici une projection de deux futurs alternatifs selon le vote des citoyens : l’un issu du système politicien traditionnel, l’autre fondé sur une démarche démocratique renouvelée.
Ce dimanche 5 octobre, les électeurs du Tarn-et-Garonne ont une opportunité rare : celle de choisir entre la continuité partisane et une nouvelle voie démocratique. Libérés des enjeux nationaux promettant la victoire majoritaire d’un camp sur l’autre, les électeurs de la circonscription ont la possibilité de voter pour expérimenter la démocratie directe avec la candidature de Pierre Schwarz.
Le 2 juillet 2025, la gauche se réunit à l’initiative de Lucie Castets pour débattre de l’organisation d’une primaire visant à désigner une candidature commune à l’élection présidentielle de 2027. Fortes des échecs passés, à droite comme à gauche, les circonstances invitent à repenser en profondeur le mécanisme des primaires.
Alors que le nom de Huguette Bello a émergé dans les médias et que le Parti Socialiste aimerait voir Olivier Faure avoir le rôle, le meilleur choix ne serait-il pas de prendre à contre-pied les logiques politiciennes ? En choisissant par exemple la modernité avec Paula Forteza.
Pas sûr que la principale intéressée accepte. Mais voyons ensemble la différence d’intérêt entre les 3 candidatures.
Les députés, payés plus de 6000€ par mois, ont 2 pouvoirs, celui de réfléchir sur les lois, et celui de les voter. Heureusement ou malheureusement, aucun groupe n’a la majorité absolue et ne peut donc imposer son autorité sur le vote. Alors, pourquoi ne pas redonner le choix aux citoyens ?
Les revoilà, les médias qui s’affirment contre l’extrême droite mais qui n’ont pas défendu la vraie démocratie !
Ça y est, l’épouvantail de l’extrême droite est là, les médias se bougent… comme à chaque élection depuis de nombreuses années, pour cette gauche pourrie et antidémocratique. Toujours trop tard et en faveur des mêmes.