
Robert Cauneau
Convaincu par la Théorie Monétaire Moderne (MMT) - Ancien cadre Ministère des finances - Finances publiques internationales
49000 Angers - France
Sa biographie
A étudié à Université d'Angers
A étudié à École Nationale des Services du Trésor
Auparavant Conseiller du Directeur du Trésor du Sénégal
Auparavant Conseiller à Ministère de l'Économie et des Finances
Auparavant Conseiller en finances publiques dans des Organismes internationaux
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Souveraineté Monétaire : un Concept à Clarifier
Et si l’on cessait de confondre "souveraineté monétaire" et aussi bien indépendance que puissance économique ? Cet article clarifie un concept souvent mal compris et montre que l’autonomie financière - la capacité pour un État à créer sa propre monnaie dans laquelle il taxe - est une question institutionnelle, en aucune façon liée au niveau de développement. -
Socrate est mortel. L’État ne peut pas faire défaut. Et pourtant...
« Socrate est mortel » : une logique simple. Cet article montre qu'un État maîtrisant sa monnaie ne peut, logiquement, pas faire défaut involontairement. La Théorie Monétaire Moderne (MMT) éclaire cette vérité, souvent occultée par la peur des déficits et de la dette publics. L'Eurozone en est l'illustration par l'absurde. Pour un débat économique enfin guidé par la raison. -
La monnaie magique ?
Cet article analyse la critique de la "monnaie magique" qui est souvent émise à l’égard de la Théorie Monétaire Moderne (MMT). Il montre que la MMT ne propose pas une création monétaire illimitée, mais une gestion basée sur les capacités économiques réelles. La critique sert souvent à justifier l'austérité, évitant un débat sur l'utilisation de la souveraineté monétaire pour le bien commun. -
Et pourtant, l’État dépense d’abord...
Si la Théorie Monétaire Moderne (MMT) peine tant à s’imposer, ce n’est pas par manque de fondements rigoureux, mais parce qu’elle heurte des sensibilités politiques, symboliques et épistémologiques. À l’instar de Galilée, elle formule une vérité dérangeante, qui ébranle les certitudes de l’ordre établi. -
Les chaînes invisibles de l'Euro : défaire la naturalisation des limites financières
Par beaucoup, les limites financières imposées par le traité de Maastricht sont perçues comme naturelles. Or, ce sont des chaînes politiques (Cornelius Castoriadis), forçant l'adaptation (Barbara Stiegler) et isolant l'économie de la démocratie (Quinn Slobodian). Déconstruire ce verrouillage institutionnel artificiel, auto-imposé, est essentiel pour un débat véritablement démocratique sur l'Euro.