En octobre 2020, le prix Nobel de chimie a été attribué aux chercheuses Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna, respectivement française et américaine. Leur découverte scientifique ou plutôt techno-scientifique : « le développement d’une méthode d’édition du génome », avec l’invention de la technique révolutionnaire Crispr-Cas9, qu’on nomme souvent les « ciseaux moléculaires ».
Par Rv RICHARD
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Notes de lecture. Pour une fois, j’ai acheté « Front populaire, la revue de Michel Onfray », le numéro intitulé « Le génie français ». Pas par adhésion aux idées souverainistes dont il se réclame (pour ma part, je reste fermement internationaliste), mais pour tenter de comprendre le phénomène Onfray, s’il est possible de le comprendre.
Il ne faut pas être dupe : les petits gestes pour l’environnement ne seront pas suffisants au rythme où va le dérèglement climatique et son moteur qu’est l’économie capitaliste.
Pourtant, nos comportements individuels, leur somme, peuvent quand même contribuer à ralentir le réchauffement.
Pourquoi s’en priver ?
Ce billet n’a aucune prétention scientifique, mais en tant qu’observateur, lecteur régulier de beaucoup de livres, d’articles, y compris ceux de la presse quotidienne régionale, il me vient l’envie de démêler les choses qui tournent autour de la violence. C’est donc plutôt un « ressenti » sur la base d’actualités, de mes expériences et de mes partis pris.
la photo du petit Aylan, noyé en Méditerranée, avait fait le tour du monde en 2015.
Aujourd'hui, nous apprenons que ce mardi 27 octobre, quatre migrants, dont deux enfants de 5 et 8 ans sont morts noyés lors d'une tentative de traverser la Manche.
Une note de lecture sur l’étude de la sociologue Isabelle Coutant intitulée : Les migrants en bas de chez soi, Seuil, 2018. Elle raconte l’irruption d’un squat de migrants dans un quartier populaire du 19ème arrondissement de Paris en 2015. A lire en ces temps troublés.
Beaucoup de salariés ont connu le télétravail à partir du confinement de mars.
Dans le secteur informatique, ce fut le cas. Du coup, beaucoup de monde y prend goût et demande à continuer cet exercice après la pandémie.
Quel sens donner à cet engouement ? Quel lien avec l'entreprise et surtout les collègues ?
En tout cas, ça interpelle le mouvement syndical.
Racisme et xénophobie ne sont pas que l’apanage de « gens pas très futés » : il suffirait alors de déployer des efforts éducatifs pour les faire régresser. Ça a son utilité, mais c’est insuffisant. Car le racisme a des sources structurelles et on aurait tort de dire que ces sources appartiennent au passé.
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