Organisé par dizaines d'associations italiennes, françaises et européennes, le 14 juillet à à la frontière de Ventimille il y aura une grande mobilisation contre le délit de solidarité et en soutien des migrants
Contre la majorité de la population qui ne veut pas d’augmentation des dépenses militaires, Trump veut entraîner l’OTAN dans une nouvelle folle course aux armements, donc des guerres permanentes de plus en plus meurtrières et une menace pour l’écosystème de la planète. C’est le fait politique total du XXI s. le plus lourd de conséquences. Relançons la Résistance contre cette dérive réactionnaire.
Entre Rome et Paris, les insultes prolifèrent. Mais les vrais enjeux derrière la guerre aux migrants sont le pétrole en Libye et au Niger, les chantiers de Saint-Nazaire et encore plus importants l’uranium au Niger, le gaz de Fezzan, le cobalt, le manganèse, le lithium et les terres rares précieuses dans le Sahel. Depuis la guerre contre Khadafi, l’Italie accuse la France de vouloir dominer la Libye.
Le néo-ministre de l'intérieur s'improvise sbire imitant Mussolini et Trump. Il pratique la distraction de masse pour cacher les responsabilités des dominants et des siens à propos des désastres sanitaires, environnementaux et économiques qui frappent la population et même ses électeurs. Il cache comment nombre de ses électeurs esclavisent les immigrés à qui ne veut donner aucun droit.
Ça a duré très peu la crédibilité du gouvernement M5S-Ligue dont les leaders Di Maio et Salvini avaient promis aux Italiens le plus « grand changement politique depuis 1945 ». La continuité quasi totale avec les affaires de corruption s'est imposée. La conjoncture politique italienne semble s’acheminer vers un gouffre de plus en plus dangereux.
Peut être que la coalition M5S-Ligue durera encore un bon moment ; mais rien n’exclut que les nouveaux parvenus au pouvoir se cassent les dents sur leurs propres promesses intenables.
Peut être que la coalition M5S-Ligue durera encore pour un bon moment ; mais rien n’exclut que les nouveaux parvenus au pouvoir vont se casser les dents sur leurs propres promesses intenables.
Après avoir frôlé une inédite crise institutionnelle, le président de la République et les deux partis majeurs ont trouvé une médiation … Qui va échouer le premier?
C’est la première fois que cela arrive car par le passé le président de la Republique se limitait à être une sorte de notaire qui validait toutes les propositions des accords entre partis. A suivre.
Il n'est pas sûr du tout que ce gouvernement arrive à être mis en place. Ils vont se bagarrer pour les ministères. Et il n'est pas sûr non plus que la majorité du Parlement vote pour. D'autant plus que Berlusconi et Renzi vont acheter quelques parlementaires pour obliger le président de la République à former un gouvernement institutionnel avec tout le monde ...