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Suite à de multiples échanges avec le chercheur Pierre-Ulysse Barranque, toujours pour tâcher de ne pas s'en tenir à une vie pauvre en jouissances, une réflexion sur le rapport à l'objet-Capitalisé s'est imposée. En effet, le Dr Hubert Hervé, le philosophe Ivan Chaumelle et le linguiste Claude Déran ont permis cette médiation improvisée, jazz autour de ces grands auteurs critiques de la société.
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De la psychiatrie au genre, à la pauvreté économique ou à la politique - il n'y a qu'un pas. Mais ces dernières sont traversées par une embrassade de questionnements "hors la loi". Nous sommes toutes et tous prolétarisées par le Capitalisme, dans la mesure où nous avons perdu notre savoir, nos techniques et rhétoriques professionnelles. La transgression par les saveurs de mots peut être infinie...
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La question du sujet "je" n'a jamais été résolue. Il est possible que ce sujet soit une fiction. Comme il est tout autant possible que cette catégorie nous parle, de manière politique ; à tout un chacun. Ecrire un journal intime est un acte politique. En ce sens qu'il relève du fait de sauver sa peau. La politique est reconnue, dans les corps concrets, vulnérables -... érotiques !
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Au carrefour des disciplines, se situe : l’innommable, le trouble, la labyrinthe de la pensée. Penser avec des fragments est un vrai travail ; ce dernier permet de lutter contre l'incurie du chômage, des drogues, de la sexualité ajournée. Les histoires qui constituent nos vies sont des mythes et nous nous hissons à ces petites fictions. La pauvreté serait-elle aussi une fiction...?
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Le psychanalyste est un poète. La psychanalyse est une pratique qui ne guérit pas. Là n'est pas son but. Or, certains "scientistes" porteraient à penser que la psychanalyse se définit comme autre chose que littéraire. Cette vision est fausse, elle est poétique et politique de l'âme. Au même titre que leurs analysants, les psychanalystes sont des (miroirs) "fous"; mais savants; lucides, "kritikos".
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Christophe Gerbaud, philosophe et sociologue (formé en psychanalyse) livre ici sa réflexion sur la pauvreté. Ce sont ici des vignettes qui traitent de manière poétique des liens entre pauvreté, prises de toxines et sexualité.
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Christophe Gerbaud philosophe et sociologue militant handicap et transgenre nous présente ici une rencontre faite (sur un tchat LGBTQ) avec une personne transgenre voilée (burqa). A travers cet entretien, le regard sociologique se porte plus particulièrement sur les liens entre les possibilités d'une jouissance, d'un masochisme - agression interne - et d'une religion musulmane fantasmée.
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Pourquoi les cadres handicapés ne trouvent-ils pas de travail au niveau de leurs compétences ? Cela est lié en grande partie à notre société simplificatrice qui fait de nous des objets, qui produit des hommes prêts à fonctionner, à être opérationnels. Or, la handicap ne peut - en dépit-de toutes les catégorisations médicales- dans son "ressenti intérieur" être mis dans une case.
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"L’aliénation du spectateur au profit de l’objet contemplé s’exprime ainsi : plus il contemple, moins il vit ; plus il accepte de se reconnaître dans les images dominantes du besoin, moins il comprend sa propre existence et son propre désir… C’est pourquoi le spectateur ne se sent chez lui nulle part, car le spectacle est partout." Guy Debord
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Christophe Gerbaud, philosophe et sociologue (formé en psychanalyse) livre ici sa réflexion sur la pauvreté. Dans le contexte politique actuel (avril 2017) ; la pauvreté est souvent malmenée. Comment pouvons-nous sortir de la pauvreté ? Telle est l’aventure-méditative proposée ici à travers quatre tableaux esthétiques.