En 2018, Robert Hue, maire de Montigny-Lès-Cormeilles, député, sénateur du Val d'Oise, 2 fois candidat à l'élection présidentielle pour le Parti Communiste Français (1995 et 2002) quittait discrètement la scène politique française. Un autre défi l'attendait : s'engager dans la lutte contre la drépanocytose, première maladie génétique au monde.
Nos élites politiques et diplomatiques, perchées dans le confort de leur salons parisiens, ne peuvent faire mine d'ignorer ce qui se passait. A la France qui ne promeut dans le monde que ses armes et sa pseudo lutte contre le terrorisme, cette réponse : gifles diplomatiques annoncées, gifles méritées, gifles données...
Nos élites politiques et diplomatiques, perchées dans le confort de leur salons parisiens, ne peuvent faire mine d'ignorer ce qui se passait.
A la France qui ne promeut dans le monde que ses armes et sa pseudo lutte contre le terrorisme, cette réponse :
gifles diplomatiques annoncées, gifles méritées, gifles données...
Quand la réalité ne convient pas. On en invente une autre. Meilleure ou pas.
Les frontières géographiques, psychologiques, entre l'humain et l'ordinateur se brouillent chaque jour un peu plus.
Où allons nous ?
Un extrait du Livre audio "La Guerre des Frontières"
Episode 10 : Le sang appelle le sang.
Il est loin le temps où Alain Souchon chantait les rêves des soudanais : "Je sais bien que rue d'Belleville, rien n'est fait pour moi. Mais je suis dans une belle ville, c'est déjà ça. Si loin de mes antilopes, je marche tout bas. Marcher dans une ville d'Europe, c'est déjà ça. Oh oh oh et je rêve, que Soudan mon pays soudain se soulève. Oh oh, rêver c'est déjà ça, c'est déjà ça..."
Pour les soignants qui sont allés récemment aider à Gaza, pour les humanistes qui n’acceptent pas ce décompte morbide d’enfants et adultes civils palestiniens, passé le temps de la sidération, puis de l’exaspération, est venu celui de l’action.
Les Nations-Unies doivent intervenir.
Après Contre les murs (2012) et La spirale (2023), la documentariste toulousaine Neus Viala propose un nouvel opus sur les migrants, ou plutôt sur les effets des politiques migratoires sur le quotidien de ces étrangers venus d’ailleurs, pour mille et une bonnes raisons.
La société contemporaine, nombriliste à l'extrême, est persuadée d'avoir tout inventé.
En 2022, le Président Macron déclarait au sujet de la Coupe du monde de football : "Il ne faut pas politiser le sport".
Pourtant, aussi loin qu'on remonte dans le temps, le sport est politique. Comment se fait-il donc que les politiques soient aussi peu clairvoyants en la matière ?
Le vocabulaire médiatique emprunte immanquablement à celui de la guerre pour parler de sport. Les Jeux Olympiques de Paris n'accueilleront pas avec bienveillance les athlètes russes, car issus d'un pays ayant déclaré la guerre. Le sport et la guerre ne sont pas des corps étrangers l'un à l'autre. Pour autant, diffèrent ils ?