Nouvelle audience marathon devant la justice administrative pour l'autoroute entre Castres et Toulouse. Partisans et opposants de l'A69 se sont retrouvés pendant près de quatre heures pour échanger leurs arguments devant la cour administrative d'appel. Mais en inversant les rôles.
La population des plantigrades atteint le seuil fatidique de la centaine d'individus grâce à l'importation d'ours de Slovénie. Mais elle pourrait décliner faute de nouveaux lâchers, selon l'association « Pays de l'ours »
L'arrêt du chantier de l'autoroute de Castres par le tribunal administratif de Toulouse est "une victoire historique" pour les opposants. Ce jugement ravive la mémoire de Rémi Fraisse, mort il y a dix ans sur le projet avorté du barrage de Sivens. L'Etat fait appel pour tenter de relancer les travaux au plus vite.
Les déclarations de candidature fusent en ordre dispersé à gauche, en dépit des incantations à « faire l'union ». Revue de détail dans la ville que l'on dit « rose », où la tortue PS court après le lièvre LFI.
La présidente ouvre les débats à 9h10. Elle précise au public qu'il est interdit de prendre des photos et d'enregistrer les débats. Des affichettes rappellent ces consignes à une assistance réputée peu familière avec les usages d'un procès. Le tribunal administratif de Toulouse peut-il encore arrêter le chantier de l'autoroute entre Castres et Toulouse ? Réponse le 27 février.
On la disait « divisée », mais la gauche a tenu à célébrer son « union » samedi à Toulouse. Ce petit miracle s'est produit dans une mairie annexe qui abrite les services d'état-civil, à deux pas du Capitole. Sous les yeux de Marc Péré, déjà maire... de L'Union, qui attend son heure pour la présidence de la Métropole.