Des migrants occupent depuis une semaine le lycée Jean-Jaurès (Paris XIXe) actuellement désaffecté. Le tribunal administratif de Paris a ordonné l'évacuation du lieu d'ici lundi. Les réfugiés sont actuellement sous la menace du gouvernement.
Lien Périscope temporaire de Flo.R.
La réaction de Wikileaks à l'affaire des "Panama papers" mérite qu'on s'y attarde. En effet, l'organisation de journalistes auteur des révélations semble être placée dans un conflit d'intérêts et obéir à la "stratégie Sharp". Bref, il fallait comprendre pourquoi le journal "Le Monde", l'organe de la France rance et corrompue de Hollande, est au coeur de ce déballage bien orienté.
Le Parlement européen organise une "semaine de l'Ukraine". A cette occasion, il présente une expo-photo. Le problème est qu'il n'est pas facile de présenter la révolution ukrainienne sans échapper aux symboles nazis arborés par ses protagonistes. Ainsi, après un travail de retouche photographique, l'expo met en vedette un ancien milicien de "Secteur Droit", Vladimir Vasyanovych.
L’hostilité systématique à l’égard de l’islam est très anciennement ancrée dans la pensée occidentale. D’essence chrétienne, elle prend sa source dans l’esprit de croisade, fleurit pendant l’expansion coloniale et, après un temps de latence, reprend vigueur avec la « guerre contre le terrorisme ». Le mot « islamophobie » qui l’illustre a, quant à lui, une centaine d’années.
La néo-République autoritaire d'extrême centre de Hollande et de Valls s'est appuyée sur l'émotion soulevée par d'atroces attentats pour limiter aussitôt les libertés publiques, faisant de tout Français un suspect potentiel.
Recension pour le public anglo-saxon du dernier livre d'Emmanuel Todd, paru en anglais sous un titre évocateur du fond de cette étude : "Who is Charlie?: Xenophobia and the New Middle Class".
Quelques jours après avoir reconnu Jérusalem comme la capitale d'Israël, Tsipras, à la suite de la Hongrie, décide de passer outre la décision de l'Union européennee d'étiqueter les produits issus des territoires occupés.
Nommée rue de Valois à la place d’Aurélie Filippetti, Fleur Pellerin fait partie des ministres les plus critiquées du gouvernement. La faute à des erreurs de communication et à un discours jugé à la fois trop technique et trop superficiel par les milieux culturels.
Un article intéressant, dépublié par le journal "Le Monde". Extraits.