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D'emblée, il est annoncé que ce film est une fiction inspirée de faits réels s'étant déroulés en décembre 2018 durant les manifestations des Gilets jaunes (1). Stéphanie (Léa Drucker) est enquêtrice à l'IGPN où viennent atterrir des dossiers mettant en cause des policiers, dans des affaires de droit commun ou pour des violences commises dans le maintien de l'ordre. Ainsi on assiste à l'interrogatoire d'un CRS qui lors d'une manifestation a lancé un pavé sur les manifestants : il est contrit, mais explique qu'il s'est pris lui-même des pavés auparavant et des insultes. Il est inquiet car il dit ne rien savoir faire autre que policier.
On voit défiler des images de Gilets jaunes, certaines bien réelles. Une mère témoigne : on a pris des tirs de LBD en pleine tête, alors qu'on protestait contre la suppression des services publics (« à Saint-Dizier, ils ferment tout »). Guillaume Girard, 20 ans, apprenti électricien, est grièvement blessé à la tête par un tir de LBD. Le sang répandu est vite nettoyé. Ce jour-là, le gouvernement est en panique, « bordel complet », les policiers auraient eu pour instruction de « sauver la République ». Paradoxalement, alors qu'une telle consigne devrait inciter à respecter les règles de droit, voilà que cela ressemble à un effort de guerre. Face à une situation considérée comme insurrectionnelle, les protocoles d'intervention sont enfreints, rien n'est noté. Dans une improvisation totale, toutes les unités sont réquisitionnées notamment avec des Lanceurs de Balle de Défense (LBD). On voit dans le film qu’il y a abus de terme : car il ne s’agit pas de "défense", de tirs destinés à protéger des policiers, mais bien de LBD utilisés de manière offensive (avec des fusils LBD 40).
Le secteur est sous caméras de surveillance, donc les policiers présents sur les lieux à l'heure du drame sont repérés, mais ceux qui sont encore en métropole nient tout en bloc, ne se souviennent de rien, se mettent en maladie pour échapper aux interrogatoires, trois autres ont été envoyés en mission à Mayotte. Et les vidéos ne permettent pas de voir ce qui s'est passé réellement au moment du tir. Le témoin du tir est accusé par la police d'avoir filmé une voiture en feu, l'IGPN lui demandera alors s'il est politisé.
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L'enquêtrice finit par découvrit que la scène a peut-être été filmée. Mais l'employée d'un hôtel de luxe qui a capté les images avec son smartphone rechigne à collaborer, car, si c'était un noir ou un arabe, la police des polices ne se donnerait pas tant de mal. Confrontés aux images, les policiers coupables accusent le jeune homme et son copain d'être des « individus hostiles », et celui qui a été blessé d'avoir été menaçant : donc le tir relevait de la légitime défense (seul moment où, lors de la projection la salle rit devant tant de mauvaise foi). D'ailleurs, la tête n'était pas visée, car le tir était « maîtrisé ». Tout au plus l'arme de LBD était peut-être déréglée. Et le coup de pied final sur le jeune homme à terre (bien visible sur la vidéo accusatrice) c'était pour que celui-ci ne se saisisse pas de sa jambe pour le faire tomber. L'interrogatoire est bien menée, poussant les suspects dans leurs retranchements (comme le ferait un avocat de la victime) car il importe pour le réalisateur de montrer toutes les arguties tordues que des policiers ayant dérapé utilisent pour s'en sortir.
Cette scène d'interrogatoire vient en résonance avec la première scène du CRS. Cette fois-ci, les policiers de la BRI savent parfaitement répondre à toutes les questions de l'enquêtrice y compris face au coup de pied inexcusable porté à un homme blessé et au sol. Faut-il rappeler que le préfet Grimaud en 1968 rappelait aux policiers de l'époque que « frapper un manifestant tombé à terre, c'est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière ».
Avant même que l’on connaisse les vidéos de Sainte-Soline, on entend dans le film que les gars de la BAC proclament « a voté » à chaque tir.
Les policiers, en garde à vue, sont libérés car le gouvernement ne veut pas d'histoires avec la police, pas de dissidence de la part des forces de l'ordre, pas question de se mettre toute la profession à dos, alors, comme dans un cas réel, il a été retenu le fait qu'on ne sait pas qui a tiré le coup fatidique. Le syndicat Concorde tient à la télé les propos que dans la vie réelle tient le syndicat Alliance.
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L'enquêtrice, qui vit mal cette relaxe, rencontre la mère de la victime à Saint-Dizier d'où elle est elle-même originaire. Scène peu vraisemblable mais ce sont ses liens avec le territoire d'origine de la victime qui sont reprochés à Stéphanie : « ç'a créé un biais », lui dit une cheffe ! Cela pose un problème de "déontologie". Car du coup elle risque d'avoir un réflexe humain... Humain, en effet. Mais par charité d'âme, il n'y aura pas d'enquête administrative !
Le film se termine par une scène au cours de laquelle Guillaume, qui se remet à peine de ses blessures et conservera de graves séquelles, témoigne et trouve la force en lui de ne pas détester le policier et de rester positif. Il s’était étonné auparavant que tant de monde déteste la police, alors que lors des attentats [de 2015] la population disait son amour pour les policiers. A noter que le jeu de Léa Drucker est remarquable, convainquant.
On peut se demander pourquoi la kyrielle de drames qui ont été provoqués pendant les manifestations depuis au moins dix ans n'ont pas entraîné des décisions en haut lieu afin que cela ne se reproduise pas. Manifestement le gouvernement joue avec le feu, prenant le risque qu'il y ait un jour des morts, comme si c'était une éventualité qu'il admettait, alors que d'autres Etats européens ont une pratique du maintien de l'ordre tout autre, depuis les années 2000 où des policiers suédois ont tiré à balle réelle sur la foule tuant un manifestant. L'OSCE a alors axé le maintien de l'ordre vers la désescalade (projet GODIAC, Désescalade de la violence et gestion des foules protestataires), mais, jusqu’alors, seule la France a refusé de faire partie de ce projet.
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(1) Le drame qui a inspiré ce film est celui d’un jeune sarthois de 21 ans, Gabriel Pontonnier, qui a eu une main arrachée par une grenade GLI-F4 (grenade lacrymogène à effet de souffle contenant une charge explosive) lancée par un CRS le 24 novembre 2018 (Acte II) sur les Champs-Elysées. Il a subi 27 opérations. Son frère et son cousin ont été également grièvement blessés par cette grenade. Le policier, poursuivi pour blessures involontaires, n’ayant pas pris les précautions nécessaires, a été jugé en septembre et relaxé le 17 octobre. Comme dans toutes les affaires, ce sont les individus (policiers ou gendarmes) qui sont (éventuellement) poursuivis, jamais le pouvoir politique qui porte la responsabilité pleine et entière de la façon dont le maintien de l’ordre est assuré, souvent par des unités non formées (selon Amnesty International, sur les 13 000 tirs de LBD pendant le mouvement des Gilets jaunes, plus de 80 % provenaient d’unités non formées, selon Le Nouvel Obs du 13 novembre). L’État n’a jamais reconnu les très nombreuses victimes, ce qui constitue une violence supplémentaire.
. Bande-annonce :
Police : entre État répressif et syndicat d’ultra-droite
Dominik Moll était au Festival Indépendance(s) & Création de Ciné 32 à Auch le 1er octobre dernier, où le film est projeté dans trois salles simultanément. Le réalisateur arrive de Toulouse, où il a présenté la veille son film à Utopia de Tournefeuille et à Borderouge.
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Selon Dominik Moll, il n'y a jamais eu de film sur l'IGPN, ni d'ouvrage. Il s'agit d'une institution mal connue et opaque, mal vue des policiers et de la population, car ils sont à la fois juge et partie. Le scénario a été écrit au moment des manifestations contre la réforme des retraites. Lorsque l'IGPN travaille sur des ripoux qui déshonore la police, elle est moins contestée par les policiers que lorsqu'elle enquête sur des exactions commises au cours du maintien de l'ordre. Pour mieux appréhender la façon dont les choses se passent en interne, Dominik Moll, qui avait déjà séjourné à la PJ de Grenoble pour le film La nuit du 12 (enquête et histoire d’un crime non élucidé) et une immersion à l'IGPN de Paris, assistant à plusieurs auditions. Il a consacré quatre mois à récolter des documents, à rencontrer avocats, procureurs et familles de victimes. Le film couvre ce qu'on a appelé l'Acte IV des Gilets jaunes (c'est-à-dire le 8 décembre 2018). On se souvient peut-être que ce fut une journée tendue, car le gouvernement redoutait une montée en puissance, suite au 1er décembre qui avait connu d'importantes violences. Nombreux policiers étaient mobilisés, 10 000 manifestants, 126 blessés. Ce fut un temps de fracture entre la police et la population. Le Covid arrivé en 2019 a fait comme si tout cela n'avait jamais existé, regrette Dominik Moll.
Interrogé par Sylvie Buscail sur son film à la fois enquête et film social, le réalisateur répond qu'il a tourné des films de guerre, puis des thématiques sociales : Des nouvelles de la planète Mars (2016), sur la question de l'engagement (peu vu), une série pour Arte Eden, destin des migrants à travers l'Europe (2019), La nuit du 12, en s'appuyant sur un ouvrage, 18,3, Une année à la PJ de Pauline Guéna. Mais là, sur l'IGPN, il n'y avait pas d'ouvrage support, pas de travaux préalables : "on tient le spectateur en haleine, donc film de genre, mais visant d'autres thématiques". S'il y a des femmes dans son film c'est qu'à l'IGPN des femmes y postulent parce que les horaires sont plus réguliers. En réalité, parce qu'il s'agit de juger le travail de collègues, personne ne veut y aller. L'héroïne explique comment elle a été contrainte de choisir cette fonction qu'elle ne voulait pas.
Sur le contexte de guerre qui a caractérisé la répression de ces manifestations, Dominik Moll rappelle le propos tenu par un chef le 24 novembre 2018, au deuxième samedi, au rond-point des Champs Elysées : « vous les défoncez, vous les mettez minables ». La police est en partie tenue par un syndicat ultra-droitier, qui fait la pluie et le beau temps au ministère de l’intérieur où on ne cesse d'avoir peur des réactions des policiers (y compris avec la menace bien réelle de se mettre en arrêt de travail pour maladie). Après la mort de Cédric Chouviat, étranglé et plaqué au sol par des policiers à Paris en janvier 2020, ce qui a entraîné sa mort, Christophe Castaner, ministre de la police, avait alors décidé d'interdire l'étranglement : trois semaines plus tard, il était débarqué sur pressions des syndicats de policiers. Rien à voir avec ce qui s'est passé dans les années 1980 où Pierre Joxe avait dégagé des policiers frondeurs. Remi Nelson Borel, animateur à Ciné 32, constate que les armes qui servent au maintien de l'ordre sont d'abord utilisées dans les banlieues. Dans la mesure où beaucoup de policiers avaient la même origine que beaucoup de Gilets jaunes, issus de villes de province, les manifestants des ronds-points ont cru un temps, naïvement, que les policiers seraient de leur côté.
Dominique Moll a considéré qu’il était important de terminer son film sur les paroles fortes du jeune blessé (scène très impressionnante, car le témoignage semble réel).
Si le tournage a été accepté c'est parce d'une part les policiers de la PJ avaient apprécié La nuit du 12, d'autre part parce que la nouvelle directrice de l'IGPN, magistrate, voulait une ouverture pour cette Inspection. Des policiers de l'IGPN ont apprécié le film. En réalité, c'est par facilité que certains, y compris des ministres de l'intérieur, prétendent qu'il y a les pro-police et les anti-police. Ce que les citoyens demandent tout simplement à la police c'est d'être républicaine.
Le financement du film n'a pas été un problème, il s'agissait juste de ne pas trop mettre les Gilets jaunes en avant, considérés comme pas vendeurs selon certains producteurs ! Si, comme un spectateur le fait remarquer, la fachosphère se mobilise en dézinguant les films qui ne lui plaisent pas sur Allociné, Dominik Moll se dit curieux de voir comme CNews va en parler, alors même que la victime est un petit blanc de province !
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Loïc Faucoup, membre de l'Observatoire de pratiques policières (OPP) à Toulouse, précise que si les Gilets jaunes ont été réprimés par la BRI dans le film, c'est en réalité le plus souvent par la BAC, qui agit en cow-boy, selon des interventions en autonomie, concentrant sur son compte le record des violences, des blessés parmi les manifestants, des tirs de LBD, bien davantage que CRS et Gendarmerie. Il rappelle que ce film s'inscrit dans une séquence importante de l'histoire du maintien de l'ordre en France car, entre le 1er et 8 décembre, Christophe Castaner, ministre, avait dit qu'il voulait changer la doctrine du maintien de l'ordre, pour la faire passer de statique (comme traditionnellement CRS et gendarmes mobiles) à dynamique, consistant à "sauter" sur les manifestants. C'était déjà un peu le cas, mais il l'officialise. Ainsi des CRS "dynamiques" ont été créés, qui ont pour mission de foncer brutalement sur les protestataires et de les interpeller le plus souvent sans raison.
Castaner fait confondre le maintien de l'ordre à l'encontre de manifestants et manifestantes et une police qui interpelle des délinquants.
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Maintien de l’ordre mortel
[chronique publiée le 10 novembre sur Facebook]
Mediapart et Libération ont révélé les vidéos prises par les gendarmes eux-mêmes montrant non seulement les propos scandaleux tenus par les forces de l’ordre mais surtout l’ordre répété de tirer en tir tendu, ce qui peut être mortel, est strictement illégal et devrait faire l’objet de poursuites. En effet, à Sainte-Soline, si la plupart des médias n’ont cessé de passer en boucle les quelques véhicules de gendarmerie incendiés, évoquant les quelques gendarmes blessés (du fait de quelques centaines de manifestants excités) la grande majorité des 30 000 manifestants étaient non-violents, bien souvent en famille, et la soldatesque s’est déchaînée sur eux. Une vidéo ancienne montrait un commandant qui gueulait contre les cow-boys juchés sur des quads qui matraquaient des manifestants pacifistes.
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Les lance-grenades doivent être utilisés à 45° pour que les palets contenus dans un boitier se répandent en cloche sur les manifestants dispersant le gaz lacrymogène. La consigne de tir tendu conduit à ce que le boitier percute en direct le manifestant, pouvant provoquer de graves blessures à la tête (d’ailleurs c’est ce qui s’est produit, des manifestants ont sombré dans le coma, l’un ayant eu le crâne explosé) et peut-être la mort. Un observateur (que normalement l’ONU protège) a pris lui-même un tir en pleine tête lrs d'une manifestation à Toulouse il y a quelques années : 12 points de suture. Les autorités ont empêché les secours de parvenir aux 200 blessés (dont 40 très gravement), c’est un autre cas de violation flagrante du droit, qui devrait aussi, en République, entraîner des poursuites judiciaires.
Emmanuel Macron avait parlé de « guerre » à Sainte-Soline, mais ce sont les forces de l’ordre qui l’ont menée. Gérald Darmanin, qui était ministre de l’intérieur, a nié les violences policières. Il ne s’agit pas de dire que la police commet systématiquement des violences, mais de dire que depuis une dizaine d’années (cela a vraiment commencé sous Hollande lors des contestations des lois travail voulues par Macron) le maintien de l’ordre répond à une doctrine hyper-dangereuse, qu’aucun pays européen n’applique.
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De bonne source, je sais qu’il fut un temps où dans les compagnies de gendarmes mobiles le tir tendu était systématiquement proscrit, et les contrevenants étaient rappelés aussitôt à l’ordre. On peut s’étonner que les scènes aient été filmées, il est quasiment impossible que les autorités n’aient pas connu ces images accusatrices. Un témoin qui a connu de près le maintien de l’ordre m'a confié qu’il y a eu sans doute des fuites internes, tous les gendarmes n’approuvant pas de tels dérapages. A part les excités en uniforme qui éprouvent du plaisir à casser du manifestant et se réjouissent d’avoir « éborgné des mecs », on peut imaginer qu’il existe des individus dans ce corps militaire qui considèrent qu’il est totalement déplacé d’agir ainsi, pas pour protéger un lieu symbolique de l’État mais pour une "bassine" ! Il est effectivement très étonnant que le pouvoir central réagisse avec une telle violence pour ce stockage d’eau (condamnable et qui sera peut-être interdit) alors que, par exemple, lors de la manifestation d’octobre 2024 en soutien à Georges Ibrahim Abdallah, devant la prison de Lannemezan où il était détenu, malgré 2000 manifestants, il n’y avait que quelques gendarmes en tenue légère.
Sur la violence policière de Sainte-Soline, nombreux témoignages ont déjà été publiés : je rappelle celui de Noémie Calais que j’avais reproduit sur mon blog Social en question (Mediapart) : Sainte-Soline à visage découvert.
. Florilège des insultes proférées par des gens d'armes censés défendre l'État (selon les enregistrements effectués par les policiers eux-mêmes, sachant que, contrairement aux règles en vigueur, nombreuses caméras n’étaient pas allumées) : « tiens dans la gueule, fils de pute », « ta mère la pute », « je compte plus les mecs qu’on a éborgnés… un vrai kiff », « j’espère bien que t’en as éborgné, hein », « faut qu’on les tue », « si je le chope, je le tue », « t’en crèves deux-trois ça calme les autres », « il a dû la pendre en pleine gueule » [la grenade GM2L], « bien joué, en pleine gueule », « ce serait bien de faire une nasse et de les massacrer », « des merdes comme ça il faut les brûler », « j’ai tiré 7 LBD, j’en ai touché au moins 4 », « il a pris dans les couilles », « quand ils seront manchots, ils feront plus grand-chose » [une grenade GM2L peut arracher un membre], « rien à branler » [à propos d’un manifestant évanoui sous les tirs]. Certains aimeraient bien pouvoir se servir de leur Famas ou de leur pistolet. Les écolos sont traités haineusement de « pue-la-pisse ».
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Sur Mediapart :
. voir les vidéos révélées par Mediapart et Libération : "Faut leur tirer dans la,gueule !", en accès libre. Les consignes de tirs tendus dans 9 escadrons sur 15, il ne s'agit pas d'initiatives individuelles. Il y a des heures de rushs, Mediapart a 50 pages de notes en réserve, non publiées à ce jour.
. voir A l'air libre, en accès libre : "Police, gendarmerie : la fabrique de l’impunité".
Sur ce blog Social en question :
. Maintien de l'ordre et mise en scène de Retailleau, 1er août 2025.
. Maintien de l’ordre sur l’A69 : une guerre d’usure, 25 septembre 2024.
. A69 : les forces de l’ordre sous surveillance, 13 mai 2024.
. A69 : où se situe la violence ? 25 octobre 2023 .
. Rapport sur les violences policières, 28 novembre 2023.
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Billet n° 890
Le blog Social en question est consacré aux questions sociales et à leur traitement politique et médiatique. Parcours et démarche : ici et là. "Chroniqueur militant". Et bilan au n° 700 et au n° 600. Le plaisir d'écrire et de faire lien (n° 800).
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