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Le blog de Adedognin ABIMBOLA

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MISÈRE ET EXPLOITATIONS...
Je vous propose avec "Misère et Exploitations", de clôturer le triptyque de mes billets d'humeur sur la misère de ceux qu'il est maintenant convenu d'appeler des "migrants" et qui par ces temps de grand froid, errent et dorment dans nos rues. Les deux premiers volets étaient intitulés "Misère et Indifférences" et "Misère et Nostalgie". -
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MIGRANTS, IMMIGRANTS ET IMMIGRÉS
Marchant, roulant ou navigant, ils sont avant tout des fuyants que n'arrêtent ni les dangers de la route, ni les mers déchaînées, ni même les nouveaux murs qui s'érigent pour leur barrer le chemin. Ce sont des mourants en puissance qui lorsqu'ils échappent non sans peine à leur funeste sort, deviennent pour nous des « Migrants ». -
Visages d'Immigrés à Paris (V.I.P): «Je m'appelle Bakhit. Et voici mon histoire...»
L'instant d'une rencontre, au chaud, à l'abri, dans un café parisien, Visages d'immigrés à Paris (V.I.P) se propose de sortir de l'anonymat, en témoignant de leurs existences blessées, voire brisées, ces personnes que nous appelons un peu vite des «migrants» et qui ne sont rien d'autres que des « mourants » qui s'accrochent désespérément à la vie ! Aujourd'hui, mon invité s'appelle Bakhit. -
Visages d'Immigrés à Paris - V.I.P : "Je m'appelle Roger D, et voici mon histoire..."
L'instant d'une rencontre, au chaud, à l'abri dans un café parisien, VISAGES D’IMMIGRÉS À PARIS (V.I.P) se propose de sortir de l'anonymat, en témoignant de leurs existences blessées, voire brisées, ces personnes que nous appelons un peu vite des « migrants » et qui ne sont rien d'autre que des « mourants » qui s'accrochent désespérément à la Vie ! Aujourd'hui, mon invité s'appelle ROGER D. -
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MISÈRE ET NOSTALGIE...
Mais, où sont passés nos bons vieux « clochards bien de chez nous » ? Qu'est devenue notre « misère bien à nous » ? Et si dans leur malheur, les « migrants » parvenaient à nous rendre plus concernés par le sort des autres, à nous rendre en quelque sorte plus humains ? -
MISÈRE ET INDIFFÉRENCES....
Dans nos rues, la misère ne s’étale plus en « blanc sur fond blanc » mais désormais, elle exhale des couleurs qui « font tâche ».