Médecin, Professeur agrégé de cardiologie, enseignant à l'universitaire de Douala au Cameroun, Médecin des hôpitaux de France
Santeny (France) et Douala (Cameroun) - France et Cameroun
La GUERRE ÉCONOMIQUE, sous forme de boycott de tous les avoirs des opérateurs économiques nationaux pro-régime et les entreprises françaises, est l'unique solution pour libérer le peuple camerounais de la tyrannie BIYA
Cinq présidents africains se sont rendus coupables de maltraitance à la Maison-Blanche, par un Donald TRUMP en instituteur mesquin face à des élèves cancres et mal vêtus. Après les bus transportant ces présidents comme des écoliers (dixit William RUTO du Kenya), voici le bureau ovale en théâtre de la prosternation de l’africain face à son maître éternel.
Les Camerounais sont suspendus à la constatation de la vacance du pouvoir au Cameroun, du fait de la disparition depuis plus d'un mois de son Président. Pourtant, il y a déjà longtemps que Paul BIYA ne respecte pas la constitution (article 1 alinéa 8) qui veut que son lieu de travail n’est pas l’hôtel intercontinental de Genève, mais le palais présidentiel sis à Yaoundé .
Le Cameroun a cessé de respirer, suspendu à un fallacieux délai de 45 jours (non inscrit dans la constitution) pour constater la vacance de pouvoir du Président de la République Paul BIYA. Curieux que la société civile, les hommes politiques, les journalistes locaux et internationaux ne cessent de brandir ce fameux chiffre 45, favorable à un dictateur pourtant déjà constitutionnellement déchu.
Le classement sans suite de plus de 80% des plaintes en France rend compte de la volonté des gouvernants à faire de ce pays l’espace européen le plus criminalisé. D’où la montée de l’extrême-droite en France qui ne compte pas parmi les 20 premières terres d’accueil des immigrants. Des pays pourtant mieux lotis que le nain qu’est la France sans le pillage des pays d’origine desdits immigrants.
La France vient de renvoyer à une date ultérieure l’arrivée de l’extrême-droite au pouvoir en France. Jusqu’à quand, étant entendu que ceci est inéluctable tant les pseudo-républicains sont incapable de répondre aux défis nationaux et internationaux d’une France de plus en plus petite, rabougrie par son orgueil handicapant.
L'Afrique a du mal à offrir un accès aux soins de santé compétitif à ses citoyens, à des années lumières du slogan pompeux de "SANTE POUR TOUS EN L'AN 2000" que l'OMS et les dictatures africaines annonçaient il y a plus de 40 ans déjà. Avec moins de 5% du budget de la santé (contre 15%, Abuja 2001), sur fond d'évacuation sanitaire des dignitaires corrompus, l'Afrique est mal partie pour de bon.
La France voit une montée du racisme et des velléités néocolonialistes, en déphasage avec la détermination des peuples africains de couper le cordon avilissant. Des nostalgiques de la force militaire expansionniste française comme le Général François LECOINTRE s'appuient sur des médias néocolonialistes tel LE FIGARO pour distiller leurs venins. Affaire à suivre...
Le Général François LECOINTRE, ancien chef d’Etat-major de l’armée française, appelle à recoloniser l’Afrique. Il assume par ailleurs que « ON NE FAIT PAS LA GUERRE POUR LA DEMOCRATIE MAIS POUR LES INTERETS DE LA FRANCE ». Il sera poursuivi au Tribunal militaire pour apologie de crime contre l’humanité.
Une croyance des peuples de l'Afrique équatoriale appelés BANTOU fait des morts des êtres parfaits, dont il faut respecter une mémoire souvent souillée lors de leur traversées du monde terrien. Les dictateurs sanguinaires africains adorent cet imaginaire docile qui fait le lit de la confiscation de la démocratie