Son blog
19 abonnés
Le blog de Alain Dayan
- 9 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 0 événement
- 17 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
L'insoutenable légèreté de la marche
Définir le Macronisme est une tache qui s'avère ardue. La pensée d'un homme semble tenir lieu de définition. Entre le personnalisme d'Emmanuel Mounier et un libéralisme décomplexé, Emmanuel Macron a réussi à imposer une nouveau centrisme. Le plus remarquable dans le débat actuel est cette façon d'être partisan sans le paraître en donnant à penser que cette ligne politique est la seule possible. -
Emmanuel Macron : le trou noir
Emmanuel Macron a réussi pour l'instant, le tour de force d'apparaître compatible avec l'ensemble des force politiques. Tel un trou noir, il attire toutes les idéologies sans aucune cohérence apparente, engloutissant les clivages de la 5ème République tout en renforçant ses institutions. Un trou noir entraîne aussi une distorsion du temps. D'ailleurs, le macronisme n'est il pas un anachronisme ? -
L'union est un combat ...
Le déferlement de haine mélangeant procès définitif du parti socialiste, discours méprisants et insultes personnels suite à mon dernier billet, me donne le vertige. La simple appartenance au PS est une infamie, un blasphème ...La critique de la division de la gauche, un délit. Photo, attaque personnelle et relais de fausses informations sans rapport avec le sujet traité. Le fascisme en marche ...? -
Melenchon le croque mort de la gauche ?
"Je ne m'accroche pas à un corbillard". Mélenchon a raison, en réalité il le conduit, en croyant emporter avec lui les espoirs d'une gauche en mesure de gagner cette élection présidentielle. Tout le monde a compris qu'il ne renoncerait jamais à son propre spectacle, à la rédaction de sa propre histoire. Mais le cercueil qu'il emporte est vide. La gauche de transformation sociale est bien vivante. -
Les contradictions de Jean-Luc Mélenchon.
La candidature Mélenchon est inspirée directement par la 5ème république. Au départ une autoproclamation qui s'impose aux partis, évitant toutes confrontations démocratiques. Une campagne ultra personnalisée qui parle pourtant au nom et à un peuple abstrait. A la coupure entre privilégiés et exploités, on substitue l'opposition entre nationalistes et internationalistes. La gauche y perd son âme ..