Ici c´est le nuage Cumulus des exilés de Fahrenheit 451. Si je pleure il va pleuvoir. Les courants d´air filent des rhumes. D´autres fois ils rafraîchissent, suivant comment l´on est disposé à les recevoir. Il a un nom de clown Bouchon, et hier il arrivait d´Espagne. Des images à s´allonger par terre. Chez lui Baddock a un lit.
Vous vous souvenez de la dame qui venait de se faire tirer son ventilateur bleu un jour de canicule extrémiste ? (Voir: “Canicule et Gilets jaunes même combat“ du 25/07). Maintenant elle s’est équipée d’un joli éventail, décoré d’une scène de tauromachie.
Jeune homme laid, sans emploi, malhonnête et infidèle, cherche femme belle, situation stable et bien rémunérée, honnête, bonne mère et bonne ménagère, aimant le foyer. Indiscrétion assurée.
Dans le parc de l’Observatoire, à Paris, où je me suis réfugié pour cause de canicule, il n’y a plus beaucoup de place sous les arbres, tous les espaces d’ombres sont squattés.
Un overcraft à rames part en direction des Seychelles.
Un enfant battu hurle de pleurs.
Deux babas montent leurs trips sur la pleine lune.
Trois jumbo -jets entrent en collision avec un B52.
Chargé de bombes A.
Non amorcées.
Baddock bouleversé s´auto-taille une pipe.