alain.boutat

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Lausanne - Suisse

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  • HYPERTENSION ARTÉRIELLE : UN MAL INTENSE DU SIÈCLE

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    L’hypertension artérielle (HTA) est largement répandue à travers la planète. Elle devrait être considérée comme un mal intense du siècle, en raison de son immense prévalence, de ses graves conséquences sur la santé humaine et de son aveuglant caractère asymptomatique, qui en font une calamité épidémiologique plutôt sous-estimée. Que faudrait-il retenir de ce malheur pour sereinement l'affronter ?
  • CAMEROUN : HALTE AUX HOSTILITÉS POLITICARDES APPAUVRISSANTES !

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    Les pillages post-électoraux et les « opérations villes mortes » présentent des causes multiples, parmi lesquelles figurent la maîtrise épineuse de l'organisation du scrutin présidentiel dans un contexte tumultueux, l’instrumentalisation de l’ethnicité, le bellicisme politico-alimentaire, la surexcitation du vandalisme convoiteux et l’opportunisme des casseurs en état de précarité économique.
  • L’AFRIQUE FACE À L’ÉPREUVE DES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES

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    Depuis l’avènement du multipartisme politique en Afrique, l’élection présidentielle s’apparente, dans certains pays, à un affrontement hostile d’individus. Et même la décision sans recours du juge constitutionnel, qui est censée désigner le vainqueur, peut être vitupérée et suivie de crises post-électorales, nonobstant les avancées de la participation populaire aux scrutins depuis les années 1990.
  • POUR L’UNITÉ NATIONALE ET LE PROGRÈS SOCIAL AU CAMEROUN

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    Selon toute vraisemblance, le président Paul Biya va être réélu à la tête de « l’Afrique en miniature ». Si ce choix est confirmé par le verdict des urnes, le peuple camerounais en attend probablement une consolidation des acquis et une sereine ouverture vers de profondes réformes que leur chef d’État préféré offrirait à la postérité, sans rien éteindre dans ses mandats électifs et consécutifs.
  • PRÉSIDENTIELLE AU CAMEROUN : LE VERTUEUX DÉFI DE LA RÉSILIENCE DÉMOCRATIQUE

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    Comme à chaque présidentielle au Cameroun, depuis le retour du multipartisme en 1990, des recours sont déposés auprès des juridictions en contentieux électoral. La Cour suprême en fut l'organe en 2011, avant la mise sur pied en 2018 du Conseil constitutionnel. Selon le Code électoral en vigueur, les contestations des candidats sont introduites dans les trois jours suivant la clôture du scrutin.