Le PEG est actuellement soupçonné d'être à l'origine de réactions allergiques importantes (l’anaphylaxie) observées chez quelques personnes ayant reçu celui des vaccins contre la COVID-19 qui contient des nanoparticules recouvertes de PEG
Comment expliquer que, en 2022, l’industrie pharmaceutique, mais également nos agences de sécurité sanitaire, se contentent d’utiliser des rongeurs, des lapins, des chiens et des singes pour évaluer l’efficacité et l’innocuité des nouveaux médicaments destinés à l'usage humain ?
Les technologies dont nous disposons aujourd’hui (organes humains sur puce, cultures cellulaires humaines en trois dimensions, cellules souches d’origine humaine, organoïdes, etc.) sont beaucoup plus fiables et pertinentes pour la santé humaine que les essais sur des animaux.
Les informations requises par les agences de réglementation pour délivrer une autorisation de mise sur le marché d’un produit phytosanitaire reposent principalement sur des études impliquant des rongeurs, notamment les rats.
Malgré les tests sur des animaux et malgré les essais cliniques, les effets indésirables des médicaments provoquent des dizaines de milliers de décès par an en France et plusieurs centaines de milliers d'hospitalisations.
Cela fait des années qu'il est de notoriété publique que notre corps -et surtout le corps des enfants- est pollué par plusieurs centaines de substances chimiques potentiellement dangereuses et persistantes. La Commission européenne aurait-elle enfin pris la mesure du problème ?
L'ablation de parties spécifiques du cerveau de souris mâles génétiquement modifiées perturbe leurs performances sexuelles et leur comportement d'accouplement. Une étude approuvée par le Comité d’éthique du “Pôle Santé, Université Libre de Bruxelles”.
Nos chercheurs et nos chercheuses sont pour la plupart dévoué(e)s, brillant(e)s et honnêtes. Mais ces qualités perdent de leur valeur sans un esprit critique vis-à-vis du paradigme actuel, qui repose sur une pensée enracinée à l’époque de Claude Bernard (1865).