Cette tribune a pour but d’exposer l’inertie des industriels ainsi que le mépris institutionnel de certaines agences gouvernementales qui font ralentir le remplacement des tests sur les animaux par des méthodes substitutives.
Le public est incité à croire que les xénogreffes (transplantation d’organes d’animaux à l’homme) représentent une stratégie acceptable pour fournir des organes aux personnes en attente d’une greffe.
La grande bascule vers des régimes déséquilibrés et leur impact sur l'IMC a débuté dans les années 1980, lorsque sont apparus à grande échelle la restauration rapide et les aliments ultra transformés.
L’affaire de la Dépakine souligne à nouveau le besoin urgent de mettre à jour la réglementation par rapport aux connaissances actuelles en matière de fonctionnement du vivant.
Cela fait 75 ans que l’industrie pharmaceutique, l’industrie chimique et les autorités de réglementation se fient aux données issues de tests sur des animaux pour soi-disant protéger la santé humaine. Les résultats de cette grotesque erreur scientifique se révèlent au quotidien.